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vendredi 29 juin 2012

Lili fait son cinéma !

Hello tous le monde ! Cette semaine, j'ai profité de la fête du cinéma avec une amie, c'est la première fois que je pense à y faire un tour (si, si, je vous assure) et ma foi, je ne suis franchement pas déçue. Pour une première place achetée, toutes les suivantes à 2,50 € et ce, pendant une semaine ! En gros, j'ai pu visionner 4 films (dont une sortie de ce mercredi) pour la modique somme de 13,4 €, soit 3,35 € la séance. Une affaire quand on connait le prix des places de nos jours. Un autre élément qui a rendu mes deux petits jours "spécial toile" très agréable = les films étaient en 2D pour la plupart (j'imagine que c'était plus rentable pour eux) Aaaaah ! Dieu que c'est grisant de retrouver nos cinéma d'antan, et regarder son film sans avoir à porter ses affreuses lunettes qui nous gène et qui nous font mal aux yeux ! Ce n'est pas parce qu'elles ont la forme de Wayfarer qu'on va trouver ça "trop coooool" les lunettes 3D, non, c'est juste chiant et ne pas avoir à les arborer pendant une séance (4, pour ma part ! Yeaaah !) c'est vraiment très plaisant. Bon sur ce, je ne suis pas là pour vous parler de lunette, mais bien pour vous donner mes impressions sur les film que j'ai vu. Dans l'ordre : Blanche neige et le chasseur, Arrête de pleurer Pénélope, Un bonheur n'arrive jamais seul et Dark Shadows. C'est parti !

BLANCHE NEIGE ET LE CHASSEUR
Réalisé par Rupert Sanders, avec Kristen Stewart (Blanche Neige),Chris Hemsworth (Le chasseur) et Charlize Theron (La reine)

J'avoue avoir eu l'envie de découvrir ce film grâce à la blogosphère qui trépignait d'impatience quant à la sortie de ce film. J'avais également l'espoir que Kristen parvienne à me surprendre. Car oui, j'en ai marre de son jeu trop plat (c'est n'est pas parce qu'on en fait des tonnes, qu'on joue juste, il faudrait penser à le lui dire) et peu innovant. L'amie qui m'a accompagnée et moi sommes tombées d'accord sur ce point, nous avions presque l'impression d'être allées voir un Twilight tant le jeu de Miss "je ne fais pas la différence entre un orgasme et une douleur fulgurante" nous a rappelé celui qu'elle emploie pour incarner Bella (Twiligt). Non, définitivement, Kristen et moi, ça ne le fait pas !
Mais allons bon, si elle jouait le personnage de Blanche Neige, et donc l'un des protagonistes. Il nous restait tout de même le chasseur, incarné par Chris Hemsworth (Thor), qui ma foi fait très bien son travail. Si ce n'est, peut-être, qu'on pourrait se lasser de l'air bougon qu'il arbore durant les 3/4 du film.
Charlize (Hancock, Prometheus) quant à elle, revêt à merveille son costume de reine. Elle est crédible du début à la fin, et la voir sombrer peu à peu dans la folie fait se dresser les poils de notre nuque. Un pari réussi !
Passons à l'intrigue maintenant. Je dois bien avouer qu'elle se tient, bien que demeurant un peu simpliste. On prend du Blanche Neige, on assaisonne avec un peu de bonne baston, plein d'effets spéciaux et le tour est joué ! Je simplifie atrocement, quoique...En clair, je n'ai rien trouver de bien innovant là dedans, c'est du déjà vu. Du Narnia avec moins d'inventivité. Certes, j'ai bien aimé le domaine des fées (et les fées en elle-même d'ailleurs) mais là aussi, rien de bien original.
En parlant de visuel, là aussi, je trouve à redire. J'ai trouver par moment les images trop lumineuses, saturées. Les couleurs n'étaient pas très belles, et les décors, hors le domaine des fées et la forêt des ombres (il me semble qu'elle porte ce nom là dans le film, je ne suis plus sûre), rien de bien transcendant. Les costumes en revanche, ainsi que le maquillage des acteurs, apportent un vrai plus à l'univers.
J'ai également été dérangée par certains dialogues, que j'ai trouvé niais. J'ai souris à de nombreuses reprises alors que l'instant du film ne se voulait pas vraiment drôle. Il m'a fallut redoubler d'effort lorsque Blanche Neige prend son destin en main et tâche de motiver ses troupes par un discours larmoyant. Eh bien, une chose est certain, la demoiselle à la peau blanche comme la neige, les lèvres rouge comme le sang mais n'est certainement pas douée d'éloquence. (et encore une fois, on rappellera à Kristen qu'il n'est pas nécessaire de gueuler comme une truie qu'on égorge pour se faire entendre de tous).
Pour finir, je dirais qu'une impression d'inachevé subsiste encore à la fin du film. Je ne saurais vous dire exactement ce qui ma manqué, mais ça m'a manqué en tout cas. On parle déjà d'une éventuelle suite sur la toile, pourquoi pas.. Néanmoins, je ne peux m'empêcher de me demander quel axe, Rupert Sanders choisirait de prendre s'il comptait faire un second opus...


ARRÊTE DE PLEURER PENELOPE
Réalisé par Corinne Puget et Juliette Arnaud, avec Corinne Puget (Léonnie),Juliette Arnaud (Chloé) et Christine Anglio (Pénélope)

En tant que fan de Arrête de pleurer Pénélope 1 & 2, la pièce de théâtre, je ne pouvais décemment pas rater la sortie de Arrête de pleurer Pénélope, le film. J'ai adorer retrouver Corinne, Juliette et Christine dans cette comédie édulcorée digne des origines. Quiconque aura aimé les pièces, aimera le film. À coup sur ! Pour ma part, j'ai adoré voir l'univers de nos trois compères s'étoffer sous mes yeux. Rencontrer le fameux Grec (compagnon de Chloé), Jérôme (mari de Leonnie) ou encore voir le centre des Coquelicots (centre pour handicapés où travaille Pénélope depuis des années) et bien sûr, j'ai aimé retrouver les trois amies dans une nouvelle histoire.
On retrouve ici la marque de fabrique de Arrête de pleurer Pénélope qu'on aime tant. Une situation qui parait, de prime abord, tout à fait simple et gérable mais qui tourne très vite au chaos le plus total duquel tente vainement de se sortir nos héroïnes. On assiste, comme d'habitude, à une ribambelle de péripéties toutes plus rocambolesques les unes que les autres et on en redemande ! Léonnie, Chloé et Pénélope, bien qu'avec cinq ans de plus dans l'aile, n'ont pas pris une ride. Et c'est vraiment un plaisir ! Léonnie toujours aussi bourgeoise, Pénélope toujours aussi crédule et éternel petite fille en rose, quant à Chloé, elle, n'a pas perdu son cynisme (quoi qu'un peu trop distillé peut-être) et son je-m'en-foutisme légendaire. De l'humour, encore et encore. On ne cesse de rire. De l'émotion aussi, comme toujours. On aime voir ses amies d'enfance de disputer, puis se rabibocher always and forever ! Je ne trouve aucun reproche à faire à ce film tant j'ai passé un bon moment.


UN BONHEUR N'ARRIVE JAMAIS SEUL
Réalisé par James Huth, avec Gad Elmaleh (Sacha Keller),Sophie Marceau (Charlotte Posche) et François Berléand (Alain Posche)

Un autre film français mit à l'honneur, et pas des moindre. On peut dire que Un bonheur n'arrive jamais seul, dont on commence à entendre beaucoup parler sur nos petits écrans, tient ses promesses. Une histoire qui vous attrape le coeur et ne le lâche plus pendant près de 1h50. Des rires, aux larmes et aux crises de rage, rien n'est laissé à l'écart. James Huth nous emmène là où nous aimons être, et si parfois le film peut nous paraitre un peu trop fleur bleue, cela fait du bien d'être plongé dans cet univers tendre et débordant d'amour. On se laisse bercer sur un petit nuage rose et on adore ça !
Ajoutons à cela deux chouchous du cinéma français, j'ai nommé le charismatique Gad Elmaleh et la sublime Sophie Marceau. Leur rôle leur vont comme une deuxième peau, et l'alchimie se créer immédiatement entre eux. Tout sonne très vrai et chacun d'eux parvint à nous séduire à leur manière. Rien à dire, c'est sans nul doute mon coup de coeur de la semaine ! Ruez-vous au cinéma et passez un aussi bon moment que moi avec Un bonheur n'arrive jamais seul


DARK SHADOWS
Réalisé par Tim Burton, avec Johnny Depp (Barnabas Collins), Michelle Pfeiffer (Elizabeth Collins) et Eva Green (Angélique Bouchard)

Je ne suis pas une fan extrême de Tim Burton, mais j'apprécie néanmoins ce qu'il produit, aussi fus-je piquée de curiosité lorsque j'ai appris qu'il comptait tourner un film sur les vampires. Vous me connaissez assez, je crois, pour savoir que c'est un sujet qui m'intéresse beaucoup. Eh bien, figurez-vous que Dark Shadows est loin d'être le meilleur film que j'ai vu, même s'il n'est pas le pire. Ce n'est certainement pas le meilleur de Burton non plus. Rien de bien original par rapport à ses précédentes productions hélas. Des personnages atypiques, Johnny Depp, Helena Bohnam Crater, un univers noir mais avec la touche de tendresse qu'on lui connait bien, un décor très travaillé et plutôt singulier. Bref, on connait la recette. Certes, cela fonctionne, et au final on passe un bon moment, mais on ne peut pas dire que Burton ait pris beaucoup de risques. Il y a de l'humour, de l'amour, de l'action, en sommes un bon film, mais rien de transcendant. La présence récurrente de ses acteurs fétiches, comme Johnny Depp et Helena Bohnam Carter notamment, me lasse un tantinet. Certes, ils sont très bons, et ont fait leurs preuves mais cela me donne la désagréable impression que le club Burton est assez restreint. S'il nous nous fait découvrir de nouvelles figures, elles sont rarement en tête d'affiche et je trouve cela dommage. J'ai trop l'impression que ce cher Tim se repose sur ses lauriers, alors que Monsieur nous a prouvé par le passé qu'il possède un grand talent. Je vote un film burtonien avec une histoire innovante et une panel d'acteurs inconnus, pour une fois, cela ferait du bien et nous donnerait moins la sensation que le réalisateur est tombé dans la roue infernal du business et du fric facile...

lundi 25 juin 2012

Lili bouquine : Isidore Tiperanole et les trois lapins de Montceau-les-Mines de pierre Thiry

Titre en VO : Isidore Tiperanole et les trois lapins de Montceau-les-Mines.
Editeurs : BOD (books on demands)
Site de l’auteur :
http://charles-hockolmess.e-monsite.com/pages/pierre-thiry.html
Ma note : 7/10
Quatrième de couverture : A cette époque, Montceau-les-Mines était bien différent d'aujourd'hui.
— Oui, on sait déjà tout ça !!! répondrez-vous. C'était la campagne, il n'y avait personne à part quelques lapins, il ne se passait rien du tout...
— Ce n'est pas si simple, il se passait même bien des choses. Il y avait Arthur, Theobald et Justin, il y avait aussi la belle Ermelinde, il y avait encore... Isidore, il y avait enfin...

MON AVIS SUR LE LIVRE

Moi qui n’aies pas totalement quitté l’enfance, c’est avec grand plaisir que je me suis plongée dans Isidore Tiperanole et les trois lapins de Montceau-les-Mines, un conte jeunesse écrit par Pierre Thiry. C’est une petite histoire assez sympathique qui se lit d’une seule traite et que l’on peut, sans hésiter, mettre entre les mains d’un enfant (je le conseillerais pour les 8-10 ans en ce qui me concerne). Un livre également chargé d’humour, avec pas mal de second degrés – qui d’ailleurs est peut-être plus accessible pour les adultes que pour les enfants –, j’ai ri à plusieurs reprises ! Isidore Tiperanole lui-même apporte une nouvelle touche d’humour à ce récit, en dehors de son nom à rallonge. C’est en effet un personnage haut en couleur, très singulier et que je ne suis pas prête d’oublier ! Je ne peux malheureusement pas vous en apprendre plus à son sujet, de peur de vous spoiler, mais sachez néanmoins qu’il vaut le détour !

Il m'est possible toutefois de vous en dire un peu plus sur ces trois lapins et leur village de Montceau-les-Mines. Isidore n’est, en effet, pas le seul à sortir de l’ordinaire, puisque l’univers tout entier dans lequel Pierre Thiry fait évoluer ses personnages est assez original. Outre le fait que les animaux parlent et vivent en communauté (vous conviendrez que sur ce point, pas mal de livres pour enfant se rejoignent), l’auteur parvint à créer un monde qui lui est propre. Notamment grâce à la légende sur laquelle il fonde le village, et principalement le nom de Montceau-les-Mines. Une anecdote qui, en plus d’être très drôle, sort des sentiers battus. Nous avons également nos trois lapins, trois frères : Arthur, Théobald et Justin. Ils exercent respectivement, dans leur petit monde de lapins et d’hermine, le métier de policier, vendeur de glace et poète. Ils possèdent chacun un caractère bien distinct mais ont néanmoins un point commun : celui d’être éperdument amoureux d’Ermelinde, la princesse hermine. Nous guetterons ainsi les multiples tentatives que feront ces courageux petits rongeurs, ainsi que les obstacles qui s’opposeront à eux, pour conquérir le cœur de cette belle princesse.

Le dernier atout de ce livre est sans doute sa brièveté. En effet, le conte se compose de 66 pages et se trouve donc très accessible aux enfants. Je pense d’ailleurs que ceux-ci sauront apprécier cette histoire assez rocambolesque autant que moi !

ON ADORE : L’humour de Pierre Thiry, l’originalité de cette histoire et de son contexte.
ON REGRETTE : La qualité des illustrations (brouillonnes, peu soignées)


mercredi 20 juin 2012

Lili bouquine : Un pied dans la tombe de Jeaniene Frost

Titre en VO : One foot in the Grave
Editeurs : Milady
Site de l’auteur :
http://jeanienefrost.com/
Ma note : 8/10
Quatrième de couverture : La demi-vampire Cat Crawfield est devenue agent spécial, engagée par le gouvernement pour débarrasser le monde de la racaille morte-vivante. Elle n’a rien oublié de tout ce que Bones, son ex, lui a appris. Pourtant, lorsqu’elle se retrouve avec des tueurs aux trousses, elle est contrainte de faire de nouveau appel à lui. Les retrouvailles sont tumultueuses, et malgré tous ses efforts pour que leur relation demeure strictement professionnelle, Cat va découvrir que le désir ne meurt jamais… et que le ténébreux vampire compte bien souffler sur les braises encore chaudes.

MON AVIS SUR LE LIVRE

C’est à partir de ce tome-ci que j’ai décrété (oui oui, décrété carrément), comme beaucoup d’autre avant moi, que la saga de Chasseuse de la nuit était indéniablement un pilier de la bit-lit. Je pense sincèrement qu’elle peut réconcilier, au même titre que la série Anita Blake de Laurell K. Hamilton, certaines personnes avec le genre, ou en convaincre beaucoup d’autres. Elle possède tous les atouts nécessaires. Une héroïne dynamique avec une certaine force de caractère, des vampires, des méchants comme des gentils, un beau gosse dégoulinant de testostérone et de l’action. Car s’il y a bien un élément qui peut représenter la série, c’est bien l’action. Personne ne pourra le nier, et certainement pas moi !

Ce deuxième volume sonne pour moi comme le véritable commencement de cette saga, comme si le premier n’était qu’une mise en bouche. Le début de Un pied dans la tombe se situe quatre ans après la fin de Au bord de la tombe, et beaucoup de choses ont changé, comme la situation et le caractère de Cat par exemple. Notre héroïne a en effet beaucoup murie, ce qui n’est pas un mal car si dans le premier elle vivait encore avec sa mère et qu’elle avait un peu de mal à réfléchir par elle-même, là ce n’est plus le cas du tout. Elle est devenue une femme responsable, autonome, déterminée, et assez sure d’elle. Autrement dit, elle a perdu le côté un peu nunuche qui m’avait déplu dans le premier opus. C’est une femme d’action qui parvint à imposer son respect, tout en évoluant dans un milieu d’hommes.

Cat est à la tête d’une petite unité de quatre hommes (Dave, Tate, Juan et Cooper) qui est chargée d’évincer les vampires, et autres créatures, qui pourraient nuire aux humains. Cat a été recruter par un certain Don, quatre ans auparavant, avec pour condition d’abandonner toute sa vie passée, dont son vampire bien aimé : Bones. Don force un peu la main de notre héroïne et elle accepte finalement, bien qu’un peu à contre cœur. Durant ces années, Cat met à profit ses capacités d’hybride ainsi que l’enseignement rigoureux qu’elle a reçu de Bones. Elle forme ainsi son équipe et ses chasses aux vampires mènent bons trains jusqu’au jour où sa tête est mise à prix par un mystérieux vampire.

Une intrigue des plus mouvementées s’offre à nous, elle nous tient en haleine jusqu’au bout et les rebondissements ne cessent pas de nous estomaquer. Notre esprit gamberge follement. Qui en veut à Cat à ce point ? Que compte-t-elle faire alors que des vampires, avides de la belle récompense qu’on offre pour sa tête, arrivent de toutes parts pour essayer de la tuer ? Va-t-on revoir Bones ? Comment leur relation va-t-elle évoluer ?

Ce tome-ci est également riche en personnages. On en retrouve quelques-uns, on en rencontre d’autres. L’univers de la Chasseuse de la nuit s’étoffe pour notre plus grand plaisir ! On revoit notamment Spade, vampire et ami de Bones, Don évidemment, que l’on avait découvert à la fin du 1er opus. On fait ensuite la connaissance de Ian, dont on avait entendu parler dans le tome précédent, Mencheres, Dave, Tate, Juan, et Cooper. Des secrets sont révélés, notamment sur le passé de Cat, ainsi que sur celui de Bones avec l’apparition du personnage d’Annette. De grands événements, et quelques revirements de situation ponctuent le récit et annoncent un tome 3 des plus palpitants.

L’action va a cent à l’heure, et c’est cela qu’on aime dans la saga Chasseuse de la nuit de Jeaniene Frost, ça se lit avec une fluidité surprenante tant on est happé par l’intrigue. Je vous recommence chaudement cette série.
ON ADORE :
L’évolution du personnage de Cat, l’action, le rythme du récit et LE CHAPITRE 32 !!! ON REGRETTE : pas grand chose.


jeudi 14 juin 2012

Une floraison livresque pour le mois de mai ?


Me revoici donc avec cet article sur mon bilan du mois de mai, un peu en retard, je vous l'accord, j'ai finalement réglé mon problème d'ordinateur et peux enfin poster un billet. Comment d'habitude, vous avez les deux vidéos à l'appui. En haut mon bilan de lecture, en bas mon In my mail box, soit les livres qui ont rejoins ma pal durant le mois de mai. Un mois assez concluant en terme de lecture, puisque j'ai lu huit livres, ce qui est plutôt bien. Surtout lorsqu'on compare ce score avec ceux des mois précédents. Espérons qu'il en sera de même pour les mois à venir. Ce mois-ci a été marqué par une série de bit-lit en particulier, dans laquelle j'ai eu plaisir à replonger. Il s'agit de Chasseuse de la nuit de Jeaniene Frost, dont j'ai lu le tome 2, 3 et 4 dans le courant de ce mois de mai. Plusieurs autres découvertes également, je vous laisse donc visionné les vidéos si vous souhaitez en savoir davantage.