Titre en VO : When darkness comes Ma note : 6/10. Quatrième de couverture : Abby Barlow était loin d'imaginer que travailler pour cette femme mystérieuse pourrait faire basculer sa vie. La mort de cette dernière va plonger Abby dans un monde de danger et de ténèbres, car elle est subitement chargée d'un bien lourd fardeau : elle est devenue le Calice, porteuse de la déesse du bien, cible de tous les démons. Heureusement, elle dispose d'un allié de choix : Dante. Mortellement dangereux et outrageusement sexy. Un couvent de sorcière à réduit ce vampire en esclavage quelques siècles auparavant et en a fait le gardien du Calice. Maintenant que c'est la belle et douce Abby qui est menacée, son dévouement ira bien au-delà des exigences de sa mission. |
MON AVIS SUR LE LIVRE
Mon avis sur ce livre est assez mitigé, car, dans l’ensemble, les personnages et l’histoire en elle-même m’ont séduit. En revanche, énormément d’éléments, ou notamment le manque d’éléments, m’ont dérangés. Les Gardiens de l’Eternité est un roman fantastique mettant en scène une jeune femme, Abby Barlow, et un vampire, Dante. Ce sont les deux protagonistes que nous suivons au cours de la lecture. Abby, suite à un accident magique provoqué par Selena, la femme chez qui elle faisait le ménage, se retrouve avec un énorme fardeau sur les épaules. Elle est devenue le Calice, la porteuse d’une déesse bénéfique, dont on ne sait rien, nommée le Phénix. Dante, depuis près de trois siècle, en est le protecteur. Ayant changé de corps après la mort de Selena dans l’incendie, le Phénix est vulnérable et très vite les démons et autres créatures du mal affluent pour tenter de s’emparer du Calice et, du même coup, de la déesse bénéfique qu’elle garde en elle. Abby, prise au dépourvue, elle qui n’a jamais eu conscience du monde fantastique qui l’entoure, est forcée de fuir, sans vraiment savoir ce qui lui arrive, ni où elle va. Heureusement, Dante, éperdument amoureux d’elle depuis le premier jour, est là pour l’aider. Rapidement, les deux personnages tombent dans les bras l’un de l’autre et se mettent d’accord sur leur quête : ils ont la ferme intention de libérer cette pauvre Abby du Phénix. Pour ça, ils devront éviter les nombreux démons et le magicien noir, au service du dieu du mal, sur leur chemin, et retrouver les sorcières responsables de l’incantation qui, trois siècle auparavant, enferma le Phénix dans le corps de la première Calice. Ils recevront l’aide précieuse de Viper, ténébreux vampire aux cheveux d’argent et poète enflammé, pour déjouer les tours du magicien noir et parvenir à leur but.
À mon sens, l’auteure a eu de bonnes idées mais elle ne les a pas suffisamment travaillées. C’est l’élément principale qui manque à son roman : l’approfondissement. Nous suivons Abby et ce cher Dante dans leur course effrénée sans en apprendre davantage sur la déesse bénéfique, Phénix, ni à propos des démons qui les poursuivent. Personne ne sait ce pourquoi les forces du mal veulent s’emparer de la déesse, ni réellement les raisons qui poussèrent les sorcières à enfermer le Phénix dans le corps de la première Calice. Les questions que je me posais en début de lecture demeurent encore et j’espère, bien évidemment, que le tome suivant me donnera quelques réponses.
Pour ma part, je trouve que la romance d’Abby et Dante prend une place surdimensionnée par rapport au reste. Certes nous sommes heureux de les voir heureux, mais surtout déçus que ce côté un peu niais prenne le dessus sur le fond de l’histoire qu’on voudrait plus approfondi. Abby et Dante passent le plus clair du roman à se dévêtir l’un, l’autre et à se proclamer leur amour plutôt que de chercher à comprendre réellement ce qu’il se passe. Abby n’a plus d’yeux que pour son bien aimé vampire et oublie un peu la déesse qui sommeille en elle. L’histoire du Phénix se voit décerner la deuxième place par rapport à la romance des protagonistes et c’est bien dommage.
Toute fois, cela reste une lecture agréable et entrainante dont j’aimerais connaître la suite !
ON ADORE : Les personnages attachants (principaux et secondaire), les idées général du roman, une bonne trame. Le dynamique des chapitre, cela se lit vite ! La couverture *____* ! ^^
ON REGRETTE : La trop grande importance que prend la romance d'Abby et Dante, le manque d'information. Le faits que l'histoire ne soit pas suffisamment creusée, quelques propos parfois trop vulgaires.
À mon sens, l’auteure a eu de bonnes idées mais elle ne les a pas suffisamment travaillées. C’est l’élément principale qui manque à son roman : l’approfondissement. Nous suivons Abby et ce cher Dante dans leur course effrénée sans en apprendre davantage sur la déesse bénéfique, Phénix, ni à propos des démons qui les poursuivent. Personne ne sait ce pourquoi les forces du mal veulent s’emparer de la déesse, ni réellement les raisons qui poussèrent les sorcières à enfermer le Phénix dans le corps de la première Calice. Les questions que je me posais en début de lecture demeurent encore et j’espère, bien évidemment, que le tome suivant me donnera quelques réponses.
Pour ma part, je trouve que la romance d’Abby et Dante prend une place surdimensionnée par rapport au reste. Certes nous sommes heureux de les voir heureux, mais surtout déçus que ce côté un peu niais prenne le dessus sur le fond de l’histoire qu’on voudrait plus approfondi. Abby et Dante passent le plus clair du roman à se dévêtir l’un, l’autre et à se proclamer leur amour plutôt que de chercher à comprendre réellement ce qu’il se passe. Abby n’a plus d’yeux que pour son bien aimé vampire et oublie un peu la déesse qui sommeille en elle. L’histoire du Phénix se voit décerner la deuxième place par rapport à la romance des protagonistes et c’est bien dommage.
Toute fois, cela reste une lecture agréable et entrainante dont j’aimerais connaître la suite !
ON ADORE : Les personnages attachants (principaux et secondaire), les idées général du roman, une bonne trame. Le dynamique des chapitre, cela se lit vite ! La couverture *____* ! ^^
ON REGRETTE : La trop grande importance que prend la romance d'Abby et Dante, le manque d'information. Le faits que l'histoire ne soit pas suffisamment creusée, quelques propos parfois trop vulgaires.