Titre en VO : The book of life Editeurs : Orbit (Calmann-Lévy) Site de l’auteur : http://deborahharkness.com/ Ma note : 10/10 Quatrième de couverture : Diana Bishop et Matthew Clairmont reviennent dans le présent pour affronter d’anciens ennemis et de nouveaux dangers. Dans le domaine ancestral des Clairmont à Sept-Tours, la sorcière et le vampire vont retrouver presque tous les protagonistes du Livre perdu des sortilèges – à une exception près. Une terrible menace pèse sur leur avenir, et elle ne se dissipera que s’ils parviennent à récupérer les pages manquantes de l’Ashmole 782. Mais ils ne sont pas les seuls engagés dans cette quête et le temps presse, car la grossesse de Diana arrive à son terme. Des vieux châteaux en laboratoires universitaires, s’appuyant sur des savoirs séculaires aussi bien que sur les sciences modernes, depuis les collines de l’Auvergne jusqu’aux palais vénitiens, Diana et Matthew, décidés à protéger leur amour défendu coûte que coûte, finiront par découvrir le secret extraordinaire que les sorcières ont percé voilà des siècles et des siècles. |
MON AVIS SUR LE LIVRE
Pour ceux qui me suivent, l’engouement que j’ai pour cette saga génialissime n’est plus une surprise. Lorsque j’ai découvert Deborah Harkness avec le premier tome de sa trilogie All Souls, Le livre perdu des sortilèges, je suis tombée sous le charme. Malgré les briques que représente chacun des tomes, j’ai lu les deux premiers à la suite presque sans reprendre mon souffle. L’univers m’a transportée dès les premières lignes et les personnages, Diana Bishop et Matthew Clairmont, sont devenus pour moi des références. J’attendais ce troisième et dernier volet depuis plus d’un an et demi, inutile de vous dire mon impatience ! Le nœud de la sorcière ne m’a, par ailleurs, absolument pas déçue, au contraire. L’auteur a su clore sa saga avec brio, répondant à toutes nos questions tout en laissant une place à l’imagination. Une fin de série parfaite, en somme !
On y retrouve nos personnages, Diana et Matthew, presque au moment exact où nous les avions quittés dans L’école de la nuit, de retour à Sept-Tours, en Auvergne, après leur séjour à Londres au XVe siècle.L’un et l’autre ont énormément changé , leur relation s’est non seulement renforcée mais elle est surtout devenue le pilier de leur existence. Malgré les tourments, leur union tiendra et leur donnera la force d’avancer. C’est principalement ce qui me séduit chez ses deux personnages. Leur détermination à être ensemble, à former un couple en dépit des règles et des difficultés, est un modèle. Ils font de leur amour une arme et ils savent parfaitement comment s’en servir. L’un est complémentaire de l’autre, ils semblent avancer d’un même pas.
À nouveau,le passé de Matthew resurgit et vient perturber le quotidien déjà tumultueux des protagonistes. Ils devront faire face à des coups durs, devront prendre des décisions difficiles et affronter l’avenir incertain qui s’offre à eux et à la famille qu’ils s’appartiennent à fonder. Car, en dehors des problèmes qui barrent leur route , Diana va devoir apprendre à gérer sa grossesse dans le noir le plus complet. Matthew étant un vampire et elle-même une sorcière, elle sait que leurs enfants seront différents, mais jusqu’à quel point ?
Son pouvoir de sorcière, également, grandit à vu d’œil et Diana se sent de plus en plus confiante. Elle parvient remarquablement à s’approprier un pouvoir qui jusqu’alors lui était totalement inconnu. Elle approfondie les capacités de tisseuse qu’elle a développée dans le second tome pour s’en faire une arme. Diana prend énormément d’assurance dans ce dernier tome, elle ne dépend plus uniquement de Matthew. Ils se protègent l’un, l’autre.
La famille de Clermont est également très présente, c’est d’ailleurs une thématique omniprésente dans le roman.La famille est le point central de l’intrigue . Les protagonistes se battront pour elle, tout au long de l’histoire, et d’autant plus en sachant que leurs enfants naturels vont naitre. On les voit unis et cela malgré leurs divergences. Chaque membre de la famille Clermont a son importance. Ysabeau, Marcus, Gallowglass et même Balwin, le fils ainé de Philippe qui souhaite imposer plus que jamais son statut de pater familias. On découvrira également de nouveaux personnages qui viendront enrichir le patrimoine des Clermont. Tous se battront pour une même cause, et notamment Matthew pour qui l’enjeu est extrêmement important. La fureur sanguinaire étant le fléau de sa lignée, le vampire devra apprendre à la vaincre, ou au minima à la contrôler.
Enfin, si le roman est sombre, violent et parfois cruel, on y retrouve égalementbeaucoup de tendresse . L’amour qui uni Diana Bishop et Matthew Clairmont rayonne, il nous réchauffe le cœur et on a plaisir à partager leur quotidien, leurs joies comme leur peines.
ON ADORE : Les personnages et l’alchimie qu’il y a entre eux – les détails de l’intrigue – la mythologie – la plume de l’auteur.
ON REGRETTE : Absolument rien. Ce dernier tome clôt remarquablement bien la série.
On y retrouve nos personnages, Diana et Matthew, presque au moment exact où nous les avions quittés dans L’école de la nuit, de retour à Sept-Tours, en Auvergne, après leur séjour à Londres au XVe siècle.
À nouveau,
Son pouvoir de sorcière, également, grandit à vu d’œil et Diana se sent de plus en plus confiante. Elle parvient remarquablement à s’approprier un pouvoir qui jusqu’alors lui était totalement inconnu. Elle approfondie les capacités de tisseuse qu’elle a développée dans le second tome pour s’en faire une arme. Diana prend énormément d’assurance dans ce dernier tome, elle ne dépend plus uniquement de Matthew. Ils se protègent l’un, l’autre.
La famille de Clermont est également très présente, c’est d’ailleurs une thématique omniprésente dans le roman.
Enfin, si le roman est sombre, violent et parfois cruel, on y retrouve également
ON ADORE : Les personnages et l’alchimie qu’il y a entre eux – les détails de l’intrigue – la mythologie – la plume de l’auteur.
ON REGRETTE : Absolument rien. Ce dernier tome clôt remarquablement bien la série.