Titre en VO : Felicity Atcock, tome 1, Les anges mordent aussi. Editeurs : Editions Rebelle, dans la collection Lipstick Site du livre/de l’auteur : http://rebelleeditions.com/SITE/ Ma note : 10/10 Quatrième de couverture : « J’ai vraiment pas de bol, il aura suffi d’une morsure, d’une seule, pour que je me retrouve embarquée dans une histoire sans queue ni tête. Je ne sais pas exactement comment ça a commencé, et je ne sais pas non plus de quelle manière tout cela va finir. Quoi qu’il en soit, celui qui fera en sorte que les jeunes vampires arrêtent de s’enterrer dans mon jardin, sera mon héros. Et si en plus il est beau, riche et intelligent, je ne me plaindrai pas ! Je veux retrouver ma vie d’avant, tranquille et… ennuyeuse à mourir. » Sauf qu’en voulant éloigner les ennuis, il arrive qu’on en attire d’autres… à plumes. |
MON AVIS SUR LE LIVRE
Ce livre m’a littéralement transporté ! Et Sophie Jomain avec. À force d’entendre des louanges sur cette auteure – française ! Soulignons-le. – j’ai eu envie de la connaître. A commencer par son roman, Les anges mordent aussi, le premier tome de la série Felicity Atcock paru aux éditions Rebelle (disponible sur le net).
Un univers attrayant dans lequel j’ai eu le plaisir d’être plongé durant près de 300 pages. Un pur bonheur, comme une bonne tasse de thé au coin d’un feu crépitant. Une histoire de vampire, oui mais pas que, car, comme le titre l’indique, on y retrouve aussi des anges, et pas n’importe lesquels. Croyez-moi, mes enfants, rien à voir avec ces petits bébé joufflus que l’on peut apercevoir dans une peinture de Michel Ange, non, ceux là envoient la purée – sans mauvais jeu de mots, bien sûr – ; ils se baladent parmi les mortels, prenant divers apparences – hommes, femmes, animaux – et se font appeler les « gardiens ». Il existe également des anges déchus qui eux sont des démons, ainsi que des entre-deux, ceux là sont des anges qui n’ont pas encore choisi leur camp, un seul acte, soit en faveur de Dieu, soit en faveur du diable, les dirigea définitivement vers l’un ou vers l’autre. Une mythologie assez biblique que j’ai aimé voir se développer au fil des pages. Sophie construit son récit d’une manière remarquable, elle nous entraine corps et âme dans son univers et c’est très plaisant.
J’aime beaucoup également la manière dont est introduit Dieu (le « patron » des anges, donc) et notamment lorsqu’un des personnages le qualifie de « très conciliant » concernant le train de vie – et notamment de la sexualité – des gardiens. On se moque ici un peu des grenouilles de bénitier qui défrisent à la vue d’un malheureux petit genou. Cela m’a fait sourire.
Les personnages font également partie des raisons pour lesquels on aime ce roman. Felicity, Daphnée, Tony, Terrence et les autres. Ils forment un tout hilarant, s’échangent des réparties cinglantes à la Anita Blake, se cassent continuellement, j’ai beaucoup ri. Je me suis également beaucoup attachée à eux et j’ai apprécié les liens qui se tissent entre eux. La relation Felicity/Terrence est un pur délice, et l’ambigüité qui se dessine entre Daphnée et Tony est un vrai bonbon, on se régale, et on en redemande !
Quelques autres personnages atypiques attirent également notre attention, comme la fameuse tante de Felicity, Margareth, un personnage assez repoussant qu’on nous décrit comme ressemblant très fortement à Madame Mim de Merlin l’Enchanteur (Disney) – un petit clin d’œil qui m’a d’ailleurs rendue nostalgique –. On peut également parler de Stanislas, l’homme mystérieux que Felicity rencontre au tout début du roman et qui amorce toute l’histoire. On se pose des questions sur lui, jusqu’au moment où Felicity le retrouve enfin. Un personnage qui vaut vraiment le détour, je vous laisse le plaisir de lire les pages qui lui sont consacrées. Vous ne serez pas déçu(e)s
L’ensemble du roman est assez drôle, avec nombreuses scènes plutôt cocasses et des personnages hauts en couleurs, néanmoins, mon œil pointilleux a su dénicher quelques petits défauts qui, je vous rassure, n’enlèvent rien au plaisir que j’ai prit à lire le roman. Tout d’abord, j’ai trouvé que l’histoire manquait de suspens, on devine à l’avance ce qu’il va se passer, et c’est un peu dommage, de même que l’intrigue policières s’estompe à mesure que le roman avance. Les événements qui tournent autour des personnages, et notamment de Felicity, puisqu’il s’agit de l’héroïne, prennent le dessus. Ce n’est pas désagréable, néanmoins. Aussi, je vous conseille tout de même fortement ce roman, vous m’en direz des nouvelles !
ON ADORE : La répartie des personnages, la mythologie.
ON REGRETTE : le manque de suspens.
Un univers attrayant dans lequel j’ai eu le plaisir d’être plongé durant près de 300 pages. Un pur bonheur, comme une bonne tasse de thé au coin d’un feu crépitant. Une histoire de vampire, oui mais pas que, car, comme le titre l’indique, on y retrouve aussi des anges, et pas n’importe lesquels. Croyez-moi, mes enfants, rien à voir avec ces petits bébé joufflus que l’on peut apercevoir dans une peinture de Michel Ange, non, ceux là envoient la purée – sans mauvais jeu de mots, bien sûr – ; ils se baladent parmi les mortels, prenant divers apparences – hommes, femmes, animaux – et se font appeler les « gardiens ». Il existe également des anges déchus qui eux sont des démons, ainsi que des entre-deux, ceux là sont des anges qui n’ont pas encore choisi leur camp, un seul acte, soit en faveur de Dieu, soit en faveur du diable, les dirigea définitivement vers l’un ou vers l’autre. Une mythologie assez biblique que j’ai aimé voir se développer au fil des pages. Sophie construit son récit d’une manière remarquable, elle nous entraine corps et âme dans son univers et c’est très plaisant.
J’aime beaucoup également la manière dont est introduit Dieu (le « patron » des anges, donc) et notamment lorsqu’un des personnages le qualifie de « très conciliant » concernant le train de vie – et notamment de la sexualité – des gardiens. On se moque ici un peu des grenouilles de bénitier qui défrisent à la vue d’un malheureux petit genou. Cela m’a fait sourire.
Les personnages font également partie des raisons pour lesquels on aime ce roman. Felicity, Daphnée, Tony, Terrence et les autres. Ils forment un tout hilarant, s’échangent des réparties cinglantes à la Anita Blake, se cassent continuellement, j’ai beaucoup ri. Je me suis également beaucoup attachée à eux et j’ai apprécié les liens qui se tissent entre eux. La relation Felicity/Terrence est un pur délice, et l’ambigüité qui se dessine entre Daphnée et Tony est un vrai bonbon, on se régale, et on en redemande !
Quelques autres personnages atypiques attirent également notre attention, comme la fameuse tante de Felicity, Margareth, un personnage assez repoussant qu’on nous décrit comme ressemblant très fortement à Madame Mim de Merlin l’Enchanteur (Disney) – un petit clin d’œil qui m’a d’ailleurs rendue nostalgique –. On peut également parler de Stanislas, l’homme mystérieux que Felicity rencontre au tout début du roman et qui amorce toute l’histoire. On se pose des questions sur lui, jusqu’au moment où Felicity le retrouve enfin. Un personnage qui vaut vraiment le détour, je vous laisse le plaisir de lire les pages qui lui sont consacrées. Vous ne serez pas déçu(e)s
L’ensemble du roman est assez drôle, avec nombreuses scènes plutôt cocasses et des personnages hauts en couleurs, néanmoins, mon œil pointilleux a su dénicher quelques petits défauts qui, je vous rassure, n’enlèvent rien au plaisir que j’ai prit à lire le roman. Tout d’abord, j’ai trouvé que l’histoire manquait de suspens, on devine à l’avance ce qu’il va se passer, et c’est un peu dommage, de même que l’intrigue policières s’estompe à mesure que le roman avance. Les événements qui tournent autour des personnages, et notamment de Felicity, puisqu’il s’agit de l’héroïne, prennent le dessus. Ce n’est pas désagréable, néanmoins. Aussi, je vous conseille tout de même fortement ce roman, vous m’en direz des nouvelles !
ON ADORE : La répartie des personnages, la mythologie.
ON REGRETTE : le manque de suspens.