mardi 20 août 2013

Lili bouquine : Hunger Games, t.2 : L'embrasement de Suzanne Collins


Titre en VO : Hunger Games #2 : Catching fire
Editeurs : Pocket Jeunesse
Site de l’auteur : http://www.suzannecollinsbooks.com/
Ma note : 9/10
Quatrième de couverture :
Après avoir gagné les Jeux de la Faim, Katniss Everdeen et Peeta Mellark retournent dans leur district. Alors que la "tournée de la victoire" dans le pays est sur le point de commencer, elle est visitée par le président de Panem. Il explique que le tour qui leur a permis de sortir tous deux vainqueurs des jeux, considéré comme un acte de rébellion envers le Capitole, donne des idées aux 12 districts du pays. Il la menace de tuer son meilleur ami, Gale, si elle ne peut prouver à tout Panem que son acte n'était pas une provocation, mais un acte irréfléchi commandé par son amour fou pour Peeta.

MON AVIS SUR LE LIVRE

Après avoir littéralement dévoré L’embrasement, tome 2 de la saga Hunger Games, je me demande encore pourquoi je ne me suis pas jetée dessus bien avant ? Voilà plus d’un an que j’ai découverts le premier opus, et il a fallu que les bandes-annonces à propos du second film (et donc issues du second tome) me face de l’œil pour que je daigne me plonger à nouveau dans l’univers dystopique de Suzanne Collins.

Quelle claque, mes amis, quelle claque ! J’ai reçu ce second tome comme une énorme claque ! Je l’ai lu quasiment d’une seule traite tant j’ai été happée dans l’histoire. J’ai été transcendée par l’univers, j’ai vécu avec les personnages pendant vingt-quatre heures intenses. J’ai ressenti leurs émotions. J’ai eu peur pour eux, je me suis demandée ce qui allait leur arriver, s’ils allaient s’en sortir ou non, quel prix ils allaient devoir payer leur libre arbitre ? Pendant une journée, j’ai évoluée dans Panem, naviguant à l’instar des Katniss et Peeta entre les districts et le Capitole.

Les amants maudits du Douze, comme on les appelle après leur victoire commune aux soixante-quatorzième Hunger Games, sont de retour dans leur district, acclamés par la foule. L’heure n’est plus aux jeux, mais pourtant les masques ne peuvent tomber. Peeta et Katniss, pour préserver leurs proches, devront continuer à jouer la comédie qu’ils ont lancée dans les Jeux et feindre un amour fou l’un pour l’autre. Car, en effet, l’issue des Jeux – peu ordinaire puisque deux tributs en sont sortis vivants au lieu d’un – insuffle de l’espoir au peuple de Panem, depuis trop longtemps sous le joug cruel du Capitole. On se met à rêver de liberté, à remettre en cause le gouvernement en place et – dans des cas plus revanchards – à laisser naitre des idées de rébellion. L’émancipation du peuple ne convient bien évidemment pas au Président Snow et il ne se prive pas de le faire savoir à gagnants des Hunger Games – qui sont la figure de l’espoir – en leur réservant une surprise empoisonnée.

On retrouve dans ce second tome des personnages toujours aussi emblématiques. Katniss, pour commencer, exècre son rôle de gagnante et à horreur d’avoir à se pavaner devant les familles de ceux qui ont péri dans les Jeux. L’hypocrisie qu’on la force à jouer la ronge petit à petit et elle ne peut faire semblant bien longtemps. La jeune fille est fidèle à elle même. Bien qu’elle n’ait plus à braconner pour subvenir aux besoins de sa famille, elle ira tout de même chasser pour venir en aide à son ami Gale et aux habitants du Disctrict Douze. Katniss a un cœur généreux malgré sa dure carapace. Elle est forte, bien que n’ayant pas conscience de l’impact de son image sur le peuple de Panem. Elle ne se rend absolument pas compte qu’elle représente l’espoir des districts. Elle donne la force aux autres de se battre contre le Capitole, ou du moins d’assumer ses idées.

Peeta, lui, assure les arrières de Katniss. Il est à l’aise avec le public et lui sauvera la mise bien des fois. C’est un garçon gentil, sincère et plein de ressources. Contrairement à Katniss, il ne joue pas réellement la comédie en ce qui concerne sa romance avec « la fille du feu ». Ses sentiments envers Katniss sont sincères, cela ne fait aucun doute. Peeta est touchant, il sait attendrir les foules – et le lecteur par la même occasion. C’est un personnage clef ne l’histoire, il aide indirectement à révéler la personnalité de Katniss, il lui fait bien souvent prendre conscience des choses, la fait réfléchir, mûrir. Il la tire indubitablement vers le haut.

Gale, le meilleur ami de Katniss, est bien plus présent dans ce second tome que dans le premier. Gale est l’alter-ego masculin de notre héroïne. Il a grandit avec elle, il a été son compagnon de chasse depuis qu’ils ont été forcés, l’un comme l’autre, de subvenir aux besoins de leur famille. Ils sont débrouillards, savent chasser et sont amis depuis qu’ils ont huit ans. Il est courageux, il a de la hargne et n’hésite pas à exprimer ses opinions quoiqu’il lui en coûte. Il est du genre à faire passer le bonheur des siens avant le son bonheur personnel. Il a beaucoup souffert de la relation factice qu’à été forée de jouer Katniss avec Peeta, néanmoins il n’a jamais laissé parlé sa jalousie jusqu’à haïr Peeta. Il sait faire la part des choses, et bien qu’il lui arrive d’agir avec impulsion par moment, il est la plupart du temps assez réfléchi. Il est celui sur qui Katniss pourra toujours se reposer.

Il nous reste Haymitch pour qui j’ai un vrai coup de cœur. C’est mon personnage préféré de l’histoire. Il est secondaire, certes, mais il reste très important. Il est même parfois primordiale pour la survie de Katniss. Il l’a d’ailleurs démontré lors des Jeux, dans le tome 1. En apparence, c’est un alcoolique désabusé qui n’attends plus rien de la vie, si ce n’est qu’elle se termine mais lorsqu’on creuse un peu, on trouve un homme véritablement engagé, bienveillant – à sa manière – en ce qui concerne Katniss et Peeta. Il comprend Katniss et, dans le fond, leur tempérament n'est pas si éloigné. Haymitch a énormément souffert, notamment à cause des jeux qu'il a remporté vingt-cinq ans avant l’histoire. Il est blessé, mais garde tout de même la tête hors de l’eau. Contrairement à ce que l’on peut penser au premier abord, c’est un battant et c’est ce qui me plait en lui.

Au cours de ce second tome, nous avons davantage l’occasion de découvrir le District Douze, étant donné qu’on y passe plus de temps que dans l’arène des Hunger Games, contrairement au premier tome. On y voit le rayonnement qu’à propagé la victoire des « amants maudits », le District Douze paraît moins sombre et plus soudé que dans le tome 1. Les habitants du district sont solidaires, on le constate notamment lorsqu’il s’agit de préserver le secret de Katniss, notamment en ce qui concerne Gale.

Les habitants des districts, qui sont représentés dans le roman par ceux du District Douze puisque c’est ici que ce tient l’histoire, s’unissent contre l’adversité du Capitole. Mais le gouvernement sévit, prévoyant une rébellions imminente du peuple. Les Pacificateurs sont envoyés en plus grand nombre dans les différents districts et les lois deviennent plus stricts.

L’atmosphère du roman s’assombrit. On constate la montée progressive de la rébellion, tout en restant en retrait car, en raison du point de vue interne qu’à choisi d’exploiter l’auteure avec le personnage de Katniss, nous n’avons pas accès à toutes les informations. Comme le protagoniste, nous ne pouvons que deviner ce qu'il se passe dans tout Panem et suspecter la manière dont le Capitole tente de cacher ces faits.

L’embrasement est parcemé de rebondissements plus stimulants les uns que les autres. On ne s’ennuit pas une seconde, on passe son temps à se demander ce que vont devenir les personnages. Le roman se lit d’une traite et la fin met le lecteur dans une tension telle qu’il est impossible pour lui de ne pas se ruer sur le tome 3.

ON ADORE : La tension continuelle sous laquelle nous maintient l’auteure durant toute la durée de la lecture – les personnages – les différents rebondissements.
ON REGRETTE :Que les « Jeux de l’Expiation » ne soient pas plus approfondis.


mercredi 14 août 2013

Lili bouquine : Trilogie Stark, t.2 "Possède-moi" de J. Kenner


Titre en VO : Claim me
Editeurs : Michel Lafon
Site de l’auteur : http://juliekenner.com/
Ma note : 4/10
Quatrième de couverture :
« Pour Damien, notre passion est un jeu. Pour moi, c’est féroce, aveuglant et réel. Ses envies sont claires : besoin de jouissance, de contrôle. De moi. Je me suis pliée à toutes ses volontés, et j’aspire à être pleinement sienne. Je veux que nous nous possédions au-delà de l’extase, et que le feu de notre passion nous brûle. Mais une part de Damien m’échappe. Je meurs d’envie de percer ses secrets, de le mettre à nu. La noirceur de notre passé pourrait étroitement nous unir… ou au contraire nous briser. » Nikki

MON AVIS SUR LE LIVRE

Possède-moi, tome 2 de la trilogie Stark, est la suite direct de Délivre-moi pour lequel j’avais déjà eu un avis assez mitigé. Pour moi, il n’y a rien d’inventif dans ce roman érotique, il reprend les codes préconçus du genre sans en arranger la sauce. Sauf peut-être grâce à l’héroïne, Nikki, qui fait preuve d’un peu plus de volonté et de caractère que celle des autres romances, et notamment que Ana (Cinquante nuance de Grey) que l’on prend – malheureusement ? – comme référence. Si cela me chiffonne un peu, je ne peux m’empêcher de faire le parallèle entre La trilogie Stark et Cinquante nuances. D’abord parce que si la forme est différente, le fond est foncièrement le même. D’autre part, nous pourrions parfaitement fondre Damien Stark et Christian Grey ensembles, et nous n’y verrions que du feu. Ils sont les même à peu de chose près. Seul leur passé diffère, leurs réactions, elles, sont ennuyeusement semblables. On ne sait pas si dans la vrai vie, les hommes d’affaire richissimes aiment « baiser brutalement » (cf. Cinquante nuances de Grey), soit, en d’autres termes, s’adonnent au sado-masochisme mais c’est apparemment ce que tentent de nous faire gober les romancières américaines.

Je ne sais pas vous, mais moi je commence à faire une overdose de ce schéma défini de la romance érotique. On croyait presque qu’il faut suivre une recette pour sortir un best-seller de ce genre. Dans un hôtel particulier au loyer exorbitant, mélangez un businessman multimilliardaire, jeune, beau, sportif malgré ses horaires de travail ingérables et son emploi du temps de ministre, et surtout….à l’esprit torturé. C’est important, la sauce ne risque pas de prendre si vous omettez cet élément. Incorporez, plus ou moins délicatement, une petite minette plus ou moins naïve, avec plus ou moins de personnalité, mais impérativement la choisir sans consistance face à l’appel du mâle. Malaxez le tout, mettez les dans les positions les plus improbables et demandant les plus grandes prouesses athlétiques. Saupoudrez de faux problèmes de conscience, d’une attirance inavouée mais vite libérée ainsi que d’une pincée d’éléments perturbateurs et le tour est joué ! Ajoutez, selon votre goût, menottes, fouet et tenues en vinyle.

Je caricature, mais j’exagère à peine et c’est bien dommage. Il y a, selon mon point de vue, bien des manières d’évoquer le désir qui peut naitre entre deux personnages de roman. Il n’est pas forcément utile d’utiliser les clichés du genre. Certes, on ne va pas cracher sur la poule aux œufs d’or, mais un peu d’inventivité saurait, j’en suis sûre, ravir le lecteur tout autant.

Pour en revenir au tome qui nous intéresse, j’ai trouvé l’intrigue de Possède-moi assez peu dynamique. En effet, rien ne semble évoluer, pas même dans la relation des personnages, jusqu’au ¾ du livre. C’est, à mon sens, brasser beaucoup d’air pour pas grand chose. Je suis peut-être un peu dure car au fond ce n’est pas non plus désagréable à lire, mais il n’y a rien d’innovant, ou même de stimulant.

De plus, j’ai parfois trouvé les personnages, et particulièrement Nikki, assez superficiels. Leur relation manque de maturité. En dehors de leur appétit sexuel démesuré, Damien et Nikki ont l’air de deux adolescents ultra possessifs. Cette notion de possession m’a d’ailleurs beaucoup dérangée. Ces constants « Tu es à moi » qui ponctue le roman m’ont fait lever les yeux au ciel plus d’une fois. Cela m’a particulièrement agacée.

Pour conclure, je trouve assez dommage que l’auteure se serve de tant de clichés, car à certain moment, elle parvient à sortir des sentiers battus et à éveillé l’intérêt. Elle donne envie de lire la suite de son histoire, mais je garde en moi la crainte d’être déçue par le troisième et dernier tome comme j’ai été déçue par ce second. Affaire à suivre.

ON ADORE : La fluidité de la plume de l’auteure
ON REGRETTE :
Les clichés trop répétitif – le caractère des personnages – le manque de dynamisme de l’intrigue.


Lili defie : Week-end à 1000 #3 - mon bilan.


Coucou tous le monde !

Le week-end dernier avait lieu la troisième session du week-end à 1000, le challenge que j'organise tous les trimestres depuis Février 2013 sur mon blog. Le challenge en question consiste à lire 1000 pages entre le vendredi 19h et le dimanche à 00h, mais le plus important c'est de partager ses bons moments de lecture avec les autres challengers. C'est souvent un week-end où l'on discute énormément entre passionnés de lecture. Pour cette troisième session, j'ai eu la surprise d'avoir environ 108 inscrits. Un record ! Merci à tous, cela m'a fait vraiment chaud au coeur ! C'est grace à vous que le challenge perdure.

En ce qui concerne mon bilan personnel, cela n'est malheureusement pas mirobolant. J'ai eu quelques empêchements ce week-end, doublé d'un énorme coup de barre ce que ne m'a permis de lire "que" 400 pages environs. Je suis toutefois assez satisfaite de moi-même bien qu'un peu déçue de ne pas avoir pu participer - et notamment interagir sur le groupe facebook du challenge - comme pour les deux précédentes sessions.

Sur ce, je vous remercie tous de vos participations, bravo à tous ceux qui ont réussi leur challenge ! À la prochaine !

jeudi 8 août 2013

Lili bouquine : Symfonia t.2 "L'Orchestre de l'Atome" de Manon Toulemont

Titre en VO : Symfonia, t. 2 : L’Orchestre de l’Atome
Editeurs : Editions du Rocher
Site de l’auteur : Symfonia – Le livre
Ma note : 10/10
Quatrième de couverture :
Six semaines se sont écoulées depuis les événements qui ont bouleversé la vie de Pacôme, Alice, Olympe, Joseph et Ange. Chacun se trouve désormais dans une toute nouvelle situation. Les deux prédateurs ont rejoint Dragon Rouge, en Allemagne, où ils développent leurs instincts de mort et se voient enrôlés dans une organisation obscure nommée Wolf, régie par la corruption, les manipulations et les trahisons. Alice, Joseph et Olympe sont quant à eux élèves de l’Institut Evnôm, à Brocéliande, où ils apprennent à exploiter leurs dons et découvrent un univers insoupçonné de la population humaine, féérique et parfois dangereux. Dans le même temps un homme, Luther Läke, compositeur fou et pionnier dans l’étude de la Symfonia, entreprend de recruter des magiciens afin d’assouvir de sombres ambitions. Lorsqu’il vient à entendre parler de l’Institut qu’Evnôm et que l’une de ses disciples, la redoutable Natasha, entre par hasard en contact avec Wolf, chaque camp semble destiné à se rencontrer… mais dans quelles circonstances ?

MON AVIS SUR LE LIVRE

Le premier tome de Symfonia, intitulé L’Ouverture avait été l’une de mes plus belles découvertes de l’année 2011 et si le second opus de cette saga, L’Orchestre de l’Atome, s’est fait attendre, il n’en est pas moins bon. Au contraire ! Déjà, il y a un an et demi, j’avais été bluffée par la finesse de la plume de l’auteure – qui, rappelons-le, à vingt ans tout juste – et l’originalité de son univers. J’avais adoré me plonger dans son histoire innovante et fraiche. J’y avais trouvé un étonnant thriller fantastique, mettant en scène des prédateurs, tels que les vampires ou les sirènes (siroy, entre autre), ainsi que des magiciens, des sorciers et des médiums. Ces impressions ont été dupliqué avec le tome 2 de la saga qui est tout simplement génial !

En lisant Symfonia, on est forcé de constater la maitrise que l’auteure a de son sujet et de son univers. Elle connait ses personnages sur le bout des doigts, elle sait appréhender leurs réactions face à diverses situations. Elle a un contrôle parfait sur les différents éléments qu’elle met en place dans son histoire.Le roman se construit petit à petit. Manon Toulemont le conçoit brique par brique, et chacun d’elles a de l’importance .

Si Ouverture était une sorte d’amorce, L’Orchestre de l’Atome nous plonge ici dans le cœur de l’action. Les cinq personnages principaux – Pacôme, Alice, Ange, Jospeh et Olympe, auxquels vont s’ajouter un certain Léo et une étonnante jeune femme du nom de Natasha – empruntent chacun leur propre chemin, semé d’embuches bien sur. Ils seront bien entendu amenés à se croiser, mais l’auteure leur réserve bien des surprises et ils devront y faire face avec plus ou moins de difficultés. Les personnages du roman sont ainsi forcés d’évoluer dans un monde qu’ils ne comprennent pas, et d’accepter des facultés qu’ils ne maitrisent pas toujours. Ils sont novices, pour la plupart. Qu’ils soient prédateurs ou bien magiciens, rien n’est simple pour eux. L’auteure ne ménage pas ses protagonistes, c’est le moins que l’on puisse dire. Mais c’est peut-être aussi la raison qui nous fait aimer le roman. Avouons que si tout se passait convenablement dans la vie de nos héros…ce serait bien moins distrayant. ;)

L’Orchestre de l’Atome est riche en rebondissements. On ne s’ennuie pas un seul instant, et les personnages non plus, loin de là ! Ils sont sans arrêt confrontés à des situations délicates, voire assez périlleuses et ils s'en sortent avec plus ou moins d’habileté. Le rythme est effréné, l’univers fourni et très bien exploité. L’auteure nous mène par le bout du nez en nous conduisant la plupart du temps là où on ne s’y attendait pas. Rien, ou très peu de choses sont prévisibles. L’Orchestre de l’Atome est divisé en plusieurs intrigues qui se trouvent au final assez liées entre elles. Elles sont assez complexes et bien souvent, on ne voit rien venir. On va de découvertes en découvertes, et à mesure que l’auteure réponds aux questions que l’on se posait à la fin du premier tome, elle en sème de nouvelles et nous donne du grain à moudre pour les tomes à venir
.
Elle nous met l’eau à la bouche, et la fin, qui plus est, nous donne réellement envie de connaître la suite des évènements.

ON ADORE : L’univers complexe – la profondeur des personnages – l’originalité de l’histoire – les différents rebondissements – la plume de l’auteur
ON REGRETTE : Rien.


dimanche 4 août 2013

Un peu de soleil pour Juillet !

Je ne sais pas si c'est le soleil, mais mon mois de Juillet a été divin en terme de lectures ! J'ai ne quasiment fait que de très bonnes découvertes, ce qui fait vraiment du bien, surtout au regard du mois de Juin qui, pour moi, n'avait pas été folichon. J'ai lu un peu de tout, passant du thriller fantastique, à la dystopie, en passant par du Young Adult et de l'urban fantasy, bref, je me suis vraiment éclatée ce mois-ci ! Découvrez, en visionnant la vidéo, les titres qui m'ont tant enthousiasmée.


Livres lus ce mois-ci :

-Symfonia, t.2 : L'orchestre de l'atome de Manon Toulemont
- Stark trilogy, t.2 : Possède-moi de J. Kenner
- Les chroniques de MacKayla Lane, t.1: Fièvre noire de Karen Marie Moning
- Boys don't cry de Malorie Blackman
- Hunger Games, t.2 : L'embrasement de Suzanne Collins


Livres qui ont rejoint ma bibliothèque :

- Possède-moi de J. Kenner
- Les chroniques de MacKayla Lane, t.1: Fièvre noire de Karen Marie Moning
- Hunger Games, t.2 : L'embrasement de Suzanne Collins
- Hunger Games, t.3 : La révolte de Suzanne Collins
- Maeve Regan, t.1 : Rage de dent de Marika GallmanLa
- La femme sans peur de Jean Philippe Touzeau
- Dead until dark de Charlaine Harris
- Living dead in Dallas de Charlaine Harris
- Le pire n'arrive jamais de Alain Flayac (recueil de poésie)
- The art of Northern de Orpheelin