Titre en VO : Mystic City Editeurs : Pocket Jeunesse (PKJ) Site de l’auteur : http://www.theolawrencebooks.com/ Ma note : 10/10 Quatrième de couverture : Aria Rose, la plus jeune héritière d’une des deux plus puissantes familles rivales de Mystic City, se retrouve promise à Thomas Foster, le fils des pires ennemis de ses parents. Leur union est sensée mettre fin à des décennies de vendetta politique, et réunir les habitants des Aeries, la classe dominante de la ville, contre les Mystiques bannis qui errent et fomentent dans ses bas-fonds.
Mais Aria ne se souvient pas être tombée amoureuse de Thomas ; de fait : elle se réveille un matin avec de grandes zones d’ombres dans sa mémoire. Et elle ne parvient pas à comprendre pourquoi ses parents auraient accepter de s’unir aux Foster en premier lieu. Quand Aria rencontre Hunter, un rebelle et séduisant Mystique des bas-fonds, elle commence à retrouver des bribes de souvenirs, et comprend qu’il détient la clé de son passé.
Les choix qu’elle sera amenée à faire sauveront ou condamneront la ville – et sa propre existence.
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MON AVIS SUR LE LIVRE
Mystic City est un pur régal ! J’ai été tellement subjuguée par ce roman que j’en ai oublié le monde qui m’entourait pendant les deux jours et demi qu’a duré ma lecture pour me laisser engloutir par le New York futuriste et enivrant qu’on découvre dans le livre.
Theo Lawrence m’a offert un tableau assez bluffant. Je me suis imprégnée de l’univers dès le premier chapitre. Je me suis très rapidement représentée la Grande Pomme qu’a imaginée l’auteur. Une ville reconstruite après le réchauffement climatique et la fonte des glaces qui a englouti la métropole telle qu’on la connaît. Dans ce futur, plus ou moins proche puisqu’en effet la date n’est pas indiquée, l’écart entre les différentes classes sociales s’est creusé. On distingue les personnes aisées, voir très aisées qui vive dansles Hauteurs , et de l’autre côté, ceux qui sont plus modestes, voir assez pauvres qui évolue dans les Bas-fonds , une endroit qui paraît assez sordide, laisser à l’abandon et que les riches préfèrent ignorer.
L’auteur a su créer une atmosphère particulière, ne serait-ce que par l’environnement dans lequel il fait évoluer ses personnages. Dans ce New York du futur, on se déplace en gondole ou bien par l’intermédiaire de transports en commun ultra-rapides et sophistiqués.Theo Lawrence a su donner du cachet à son univers . Il y implante également une forme de magie particulière, dispensée par les Mystiques, parias de la société doués de talents surnaturels.
Ce roman ne ressemble à aucun autre, et cela même s’il reprend l’éternel thème de l’amour maudit à la Roméo et Juliette. En effet, sur un fond de dystopie se dessine une romance qui suit la lignée Montaigu et Capulet, revisitée toutefois avec originalité.
Le personnage principal est Aria, une jeune fille d’environ dix-huit ans issue d’une des deux familles les plus influente de New York : les Rose. Si je peux ouvrir une parenthèse, j’aimerais vous dire à quel point j’ai apprécié de lire le récit à la première personne d’une jeune fille, écrit par un auteur masculin. Cela donne une sensibilité au texte que j’ai trouvé particulièrement intéressante. Pour en revenir à Aria Rose, sa position est assez peu enviable. En effet, au début du roman, la jeune fille a perdu la mémoire. On lui apprend qu’elle a défié ses parents en dissimulant son histoire d’amour avec Thomas Foster, fils du rival politique de son père, et qu’elle a été victime d’une overdose qui a mystérieusement effacé ses souvenirs. Après une brève convalescence, Aria assiste à la fête qui est donnée pour ses fiançailles avec l’amour de sa vie. Seulement, il y a un problème : Aria n’a aucun souvenir de Thomas et surtout,ne se souviens pas des sentiments qu’elle a éprouvés pour lui . De plus, elle a l’impression qu’on lui ment, que les choses ne sont pas telles qu’elles devraient être. Il y a anguille sous roche, elle le sait mais elle ne parvient pas à l’expliquer. Tout au long de l’histoire, elle tâchera de résoudre cette énigme.
Mystic City est une histoire de famille, d’amour, de trahison. Il y a des secrets, des complots, mais aussi de la tendresse et de la loyauté. Il est également question d’un peuple meurtri qui tente de faire entendre sa voix . Les Mystiques commencent, dans ce premier opus, à vouloir s’imposer, notamment par le biais d’un personnage emblématique que je vous laisse découvrir. On constate ici les prémices d’un tome 2 qui risque d’être palpitant.
Bien évidemment,je vous recommande ce roman qui m’a transporté dans une autre univers . Je n’ai pas pu le lâcher avant de l’avoir terminé !
ON ADORE : L’univers qu’à crée l’auteur – les personnages et leur relation. ON REGRETTE :/
Theo Lawrence m’a offert un tableau assez bluffant. Je me suis imprégnée de l’univers dès le premier chapitre. Je me suis très rapidement représentée la Grande Pomme qu’a imaginée l’auteur. Une ville reconstruite après le réchauffement climatique et la fonte des glaces qui a englouti la métropole telle qu’on la connaît. Dans ce futur, plus ou moins proche puisqu’en effet la date n’est pas indiquée, l’écart entre les différentes classes sociales s’est creusé. On distingue les personnes aisées, voir très aisées qui vive dans
L’auteur a su créer une atmosphère particulière, ne serait-ce que par l’environnement dans lequel il fait évoluer ses personnages. Dans ce New York du futur, on se déplace en gondole ou bien par l’intermédiaire de transports en commun ultra-rapides et sophistiqués.
Le personnage principal est Aria, une jeune fille d’environ dix-huit ans issue d’une des deux familles les plus influente de New York : les Rose. Si je peux ouvrir une parenthèse, j’aimerais vous dire à quel point j’ai apprécié de lire le récit à la première personne d’une jeune fille, écrit par un auteur masculin. Cela donne une sensibilité au texte que j’ai trouvé particulièrement intéressante. Pour en revenir à Aria Rose, sa position est assez peu enviable. En effet, au début du roman, la jeune fille a perdu la mémoire. On lui apprend qu’elle a défié ses parents en dissimulant son histoire d’amour avec Thomas Foster, fils du rival politique de son père, et qu’elle a été victime d’une overdose qui a mystérieusement effacé ses souvenirs. Après une brève convalescence, Aria assiste à la fête qui est donnée pour ses fiançailles avec l’amour de sa vie. Seulement, il y a un problème : Aria n’a aucun souvenir de Thomas et surtout,
Mystic City est une histoire de famille, d’amour, de trahison. Il y a des secrets, des complots, mais aussi de la tendresse et de la loyauté. Il est également question d’
Bien évidemment,
ON ADORE : L’univers qu’à crée l’auteur – les personnages et leur relation. ON REGRETTE :/
Il était déjà dans ma whish-list mais tu m'a vraiment donné envie de le lire, je vais avoir du mal à ne pas me précipiter chez mon libraire demain.
RépondreSupprimerEn général je ne suis pas fan des récits à la première personne mais l'histoire à l'air tellement bien construite que je passerais outre.
Merci pour cette chronique. =)
Rien qu'en ayant lu ton avis j'ai envie d'acheté ce livre et de le lire ! :)
RépondreSupprimerBonne continuation !