Titre en VO : Lover Awakened Ma note : 10/10 Quatrième de couverture : La guerre fait rage à l’insu des humains. Six vampires protègent leur espèce contre la société des éradiqueurs. Ils sont regroupés au sein de la mystérieuse Confrérie de la dague noire. Zadiste, ancien esclave de sang, est le plus effrayant des membres de la Confrérie. Réputé pour sa fureur intarissable, ce sauvage est craint des humains et des vampires. La terrer est sa seule compagne, la souffrance sa seule passion…jusqu’à ce qu’il tire une ravissante femelle des griffes des éradiqueurs. Tout pourrait changer mais le guerrier est rattrapé par son passé et se sent glisser lentement vers la folie. Animé par un désir de vengeance, il fera tout pour protéger Bella de ses bourreaux et surtout…de lui même. |
MON AVIS SUR LE LIVRE
Un coup de cœur comme je n’en ai pas eu depuis très longtemps. Pour moi, c’est le meilleure tome de la Confrérie que j’ai lu jusque là. J’ai été littéralement transportée dans cette lecture. Emue parfois jusqu’au larmes, ce volume m’est rester longtemps dans la tête de sortes que la lecture qui a suivit a été très difficile à démarrer tellement les personnages de l’Amant furieux restaient présent dans mon esprit.
J’étais déjà curieuse au sujet du personnage de Zadiste, que je trouvais jusqu’alors relativement troublant, effrayant mais néanmoins intriguant, il m’a véritablement séduite dans ce tome ci. J’avais déjà commencé à entrevoir, bien que de loin, ce personnage énigmatique qui jusqu’alors demeurait le guerrier balafré de la Confrérie, un peu détraqué et flippant sur les bords, que tous, ses « frères » y comprit, définissaient comme étant une bête sauvage dénué du moindre sentiment. Comme Bella, j’avais été frappée par la description que Fhurie fait de son jumeau dans le tome 2 : « Il est détruit, pas cassé », il avait souligné également qu’il n’existait aucun espoir de reconstruction. Que Zadiste était un cas désespéré, une âme en perdition. Et comme la jeune femme, je n’avais pas envie d’y croire. Elle et moi avons eu raison semble-t-il ! J’ai vraiment beaucoup aimé découvrir Zadiste, et particulièrement son passé. Ce qui a fait de lui le vampire qu’il est aujourd’hui, l’origine des marques qu’il porte sur le corps, de la balafre qui lui barre le visage etc. J’ai également apprécié de voir la relation entre lui et son frère jumeau, le tout aussi énigmatique Fhurie, s’étoffer. Leur fraternité, la fidélité l’un envers l’autre, l’amour qu’ils se portent m’a beaucoup touchée. J’ai aimé également être témoin de sa résurrection, le voir se redécouvrir lui-même, faire des efforts. On s’aperçoit au final que s’il est resté dans ce mutisme pendant tant d’année, c’est parce que quelque chose, de pourtant banal, l’empêchait de sortir. Le chemin sera long pour lui, mais délicieux pour nous. C’est un personnage troublant auquel on s’attache à coup sur.
Passons maintenant au personnage de Bella que nous avions précédemment rencontrée dans le tome 2. C’est une vampire aristocrate qui, malgré son désir d’indépendance assez fort, est trop habituée à la surprotection de son frère ainé pour réellement s’envoler dans ses propres ailles. Elle a horreur d’être sous son commandement, mais n’a pas suffisamment de courage, ou peut-être trop de respect pour s’insurger. Malgré tout, elle aime son frère et la seule chose qu’elle regrette c’est qu’il ne lui laisse pas suffisamment d’air pour respirer comme elle l’entend. Nous avons affaire ici à une jeune femme bouillonnante de vie mais qui ne demande qu’à laisser sortir tout ce qu’elle a en elle. Ce qu’elle désire plus que tout, rencontrer un mâle qui saurait tenir tête à son frère, rien que pour elle. Dès le début, elle est obnubilée par Zadiste et est persuadée qu’il est le genre d’homme qui ne reculera pas devant son ainé trop protecteur et possessif. Seulement voilà, Zadiste la repousse et pourtant, Bella sent bien qu’elle ne le laisse pas si indifférent qu’il le prétend. Comme nous, lectrices, elle veut apprendre à le connaître, mais lui ne lui laisse entrevoir que la carcasse. Bella tombe d’abord sur un mur, puis deux, puis trois et ainsi de suite. Puis vint le moment où elle est enlevée par un éradiqueur dérangé et amoureux transi. Bella lui rappelle son amour déchu et le chasseur de vampire veut la garder pour lui. Ici, Bella nous démontrera son courage car, bien que fourrée dans une situation plus qu’hasardeuse, elle parvint à manipuler M.O, son ravisseur, dans le but unique de rester en vie. Elle lui dit ce qu’il veut entendre, le caresse dans le sens du poil tout en nourrissant intérieurement l’espoir qu’un jour, on viendra la délivrer de ce traquenard odieux. Et pourquoi pas Zadiste ? Finalement secourue après des semaines de captivité par son preux chevalier en cuir, Bella se retrouve au manoir de Confrérie. C’est là qu’elle entrevoit une éclaircie dans sa relation avec Zadiste. Là aussi, ce ne fut pas facile, une route semée d’embuches que le guerrier plaçait lui même sur la chaussée, mais au final, avec la dextérité et la tendresse qu’on lui connaît, Bella parviendra à adoucir le cœur de pierre du vampire.
Leur romance m’a beaucoup touché, déjà de part sa complexité, mais aussi et surtout pour la relation presque fusionnelle qu’ils vont construire ensemble, parfois même à leur insu. Un autre élément qui m’a séduite, c’est que l’intrigue principal et intrigue amoureuse se mêle. Les deux protagonistes prennent par à l’action puisqu’ils sont directement concernés, un point que j’ai beaucoup apprécier.
Du côté des éradiqueurs, là aussi on se régale. M.O est un personnage que j’ai aimé voir évoluer, déjà de part sa différence qu’il semble vouloir entretenir : il se teint les cheveux, refuse de perde son identité et n’apprécie pas tout à fait l’Oméga (grande puissance maléfique que les éradiqueurs ont juré de servir), de fait, il n’est pas un éradiqueur ordinaire. Mais ne vous méprenez pas, ce n’est pas un gentil pour autant, loin de là. Il vient puisez sa cruauté et sa folie dans une vieille psychose amoureuse et en cela, il est dangereux. Persuadée que Bella est sa femme, il utilise d’ailleurs ce terme à plusieurs reprises dans le roman, il tentera de se l’accaparer en la dérobant aux siens, en la séquestrant puis, même après sa libération, il continuera d’être obnubilé par elle, allant jusqu’à oublier son rôle d’éradiquer qui est celui de chasser les vampires. Un point de vue intéressant que j’avais aperçu dans le second tome et que j’ai beaucoup aimé voir se développer dans celui ci.
Beaucoup de point positif pour ce tome ci, comme je l’ai dit plus haut, c’est un véritable coup de cœur, néanmoins, je lui trouve également quelques défauts notables. Tout d’abord, le même que dans le second tome : les personnages qui ont déjà eu leur tome sont mit à l’écart et relayé au rang de personnage secondaire, comme ici Kohler (qui pourtant occupe un place importante dans la Confrérie puisqu’il est devenu le roi), Beth, Rhage et Mary, ce que je trouve vraiment dommage. J’aurais aimé savoir ce qu’ils deviennent ensuite et si J.R. Wards parvint à mettre en scène les autres personnages, je parle notamment de Viszs, Butch, John, Thor et tout les autres qui n’ont pas encore eu un tome consacré à leur personnage, pourquoi ne pas continuer avec ceux dont on déjà entendu parler dans les volumes précédent ? C’est une question qui, pour moi, demeure sans réponse.
Un deuxième point sur lequel j’ai un peu tiqué, bien que ce ne soit pas totalement un point négatif. La fin me laisse perplexe, en effet, je me demande comment J.R. Wards va rebondir pour ma suite. Comment elle compte enchaîner les évènements, autant du côté des guerriers que de celui des éradiqueurs. Néanmoins cela annonce un renouveau dans l’intrigue qui promet d’être intéressant. Je ne demande qu’à voir cela de plus près.
Un bilan très positif pour L’Amant furieux, cependant, j’appréhende de m’attaquer à L’Amant Révélé, par peur d’être déçue après ce coup de cœur. D’un autre côté, je brûle de connaître la suite.
ON ADORE : Zadiste, la complexité de sa phycologie. Sa relation avec Fhurie. Sa romance avec Bella. L’intrigue générale.
ON REGRETTE : Que l’on mette de côté les couples qui ont déjà eu leur tome. Kohler, Beth, Rhage et Mary sont relayé au rang de personnages secondaires, c’est dommage !
J’étais déjà curieuse au sujet du personnage de Zadiste, que je trouvais jusqu’alors relativement troublant, effrayant mais néanmoins intriguant, il m’a véritablement séduite dans ce tome ci. J’avais déjà commencé à entrevoir, bien que de loin, ce personnage énigmatique qui jusqu’alors demeurait le guerrier balafré de la Confrérie, un peu détraqué et flippant sur les bords, que tous, ses « frères » y comprit, définissaient comme étant une bête sauvage dénué du moindre sentiment. Comme Bella, j’avais été frappée par la description que Fhurie fait de son jumeau dans le tome 2 : « Il est détruit, pas cassé », il avait souligné également qu’il n’existait aucun espoir de reconstruction. Que Zadiste était un cas désespéré, une âme en perdition. Et comme la jeune femme, je n’avais pas envie d’y croire. Elle et moi avons eu raison semble-t-il ! J’ai vraiment beaucoup aimé découvrir Zadiste, et particulièrement son passé. Ce qui a fait de lui le vampire qu’il est aujourd’hui, l’origine des marques qu’il porte sur le corps, de la balafre qui lui barre le visage etc. J’ai également apprécié de voir la relation entre lui et son frère jumeau, le tout aussi énigmatique Fhurie, s’étoffer. Leur fraternité, la fidélité l’un envers l’autre, l’amour qu’ils se portent m’a beaucoup touchée. J’ai aimé également être témoin de sa résurrection, le voir se redécouvrir lui-même, faire des efforts. On s’aperçoit au final que s’il est resté dans ce mutisme pendant tant d’année, c’est parce que quelque chose, de pourtant banal, l’empêchait de sortir. Le chemin sera long pour lui, mais délicieux pour nous. C’est un personnage troublant auquel on s’attache à coup sur.
Passons maintenant au personnage de Bella que nous avions précédemment rencontrée dans le tome 2. C’est une vampire aristocrate qui, malgré son désir d’indépendance assez fort, est trop habituée à la surprotection de son frère ainé pour réellement s’envoler dans ses propres ailles. Elle a horreur d’être sous son commandement, mais n’a pas suffisamment de courage, ou peut-être trop de respect pour s’insurger. Malgré tout, elle aime son frère et la seule chose qu’elle regrette c’est qu’il ne lui laisse pas suffisamment d’air pour respirer comme elle l’entend. Nous avons affaire ici à une jeune femme bouillonnante de vie mais qui ne demande qu’à laisser sortir tout ce qu’elle a en elle. Ce qu’elle désire plus que tout, rencontrer un mâle qui saurait tenir tête à son frère, rien que pour elle. Dès le début, elle est obnubilée par Zadiste et est persuadée qu’il est le genre d’homme qui ne reculera pas devant son ainé trop protecteur et possessif. Seulement voilà, Zadiste la repousse et pourtant, Bella sent bien qu’elle ne le laisse pas si indifférent qu’il le prétend. Comme nous, lectrices, elle veut apprendre à le connaître, mais lui ne lui laisse entrevoir que la carcasse. Bella tombe d’abord sur un mur, puis deux, puis trois et ainsi de suite. Puis vint le moment où elle est enlevée par un éradiqueur dérangé et amoureux transi. Bella lui rappelle son amour déchu et le chasseur de vampire veut la garder pour lui. Ici, Bella nous démontrera son courage car, bien que fourrée dans une situation plus qu’hasardeuse, elle parvint à manipuler M.O, son ravisseur, dans le but unique de rester en vie. Elle lui dit ce qu’il veut entendre, le caresse dans le sens du poil tout en nourrissant intérieurement l’espoir qu’un jour, on viendra la délivrer de ce traquenard odieux. Et pourquoi pas Zadiste ? Finalement secourue après des semaines de captivité par son preux chevalier en cuir, Bella se retrouve au manoir de Confrérie. C’est là qu’elle entrevoit une éclaircie dans sa relation avec Zadiste. Là aussi, ce ne fut pas facile, une route semée d’embuches que le guerrier plaçait lui même sur la chaussée, mais au final, avec la dextérité et la tendresse qu’on lui connaît, Bella parviendra à adoucir le cœur de pierre du vampire.
Leur romance m’a beaucoup touché, déjà de part sa complexité, mais aussi et surtout pour la relation presque fusionnelle qu’ils vont construire ensemble, parfois même à leur insu. Un autre élément qui m’a séduite, c’est que l’intrigue principal et intrigue amoureuse se mêle. Les deux protagonistes prennent par à l’action puisqu’ils sont directement concernés, un point que j’ai beaucoup apprécier.
Du côté des éradiqueurs, là aussi on se régale. M.O est un personnage que j’ai aimé voir évoluer, déjà de part sa différence qu’il semble vouloir entretenir : il se teint les cheveux, refuse de perde son identité et n’apprécie pas tout à fait l’Oméga (grande puissance maléfique que les éradiqueurs ont juré de servir), de fait, il n’est pas un éradiqueur ordinaire. Mais ne vous méprenez pas, ce n’est pas un gentil pour autant, loin de là. Il vient puisez sa cruauté et sa folie dans une vieille psychose amoureuse et en cela, il est dangereux. Persuadée que Bella est sa femme, il utilise d’ailleurs ce terme à plusieurs reprises dans le roman, il tentera de se l’accaparer en la dérobant aux siens, en la séquestrant puis, même après sa libération, il continuera d’être obnubilé par elle, allant jusqu’à oublier son rôle d’éradiquer qui est celui de chasser les vampires. Un point de vue intéressant que j’avais aperçu dans le second tome et que j’ai beaucoup aimé voir se développer dans celui ci.
Beaucoup de point positif pour ce tome ci, comme je l’ai dit plus haut, c’est un véritable coup de cœur, néanmoins, je lui trouve également quelques défauts notables. Tout d’abord, le même que dans le second tome : les personnages qui ont déjà eu leur tome sont mit à l’écart et relayé au rang de personnage secondaire, comme ici Kohler (qui pourtant occupe un place importante dans la Confrérie puisqu’il est devenu le roi), Beth, Rhage et Mary, ce que je trouve vraiment dommage. J’aurais aimé savoir ce qu’ils deviennent ensuite et si J.R. Wards parvint à mettre en scène les autres personnages, je parle notamment de Viszs, Butch, John, Thor et tout les autres qui n’ont pas encore eu un tome consacré à leur personnage, pourquoi ne pas continuer avec ceux dont on déjà entendu parler dans les volumes précédent ? C’est une question qui, pour moi, demeure sans réponse.
Un deuxième point sur lequel j’ai un peu tiqué, bien que ce ne soit pas totalement un point négatif. La fin me laisse perplexe, en effet, je me demande comment J.R. Wards va rebondir pour ma suite. Comment elle compte enchaîner les évènements, autant du côté des guerriers que de celui des éradiqueurs. Néanmoins cela annonce un renouveau dans l’intrigue qui promet d’être intéressant. Je ne demande qu’à voir cela de plus près.
Un bilan très positif pour L’Amant furieux, cependant, j’appréhende de m’attaquer à L’Amant Révélé, par peur d’être déçue après ce coup de cœur. D’un autre côté, je brûle de connaître la suite.
ON ADORE : Zadiste, la complexité de sa phycologie. Sa relation avec Fhurie. Sa romance avec Bella. L’intrigue générale.
ON REGRETTE : Que l’on mette de côté les couples qui ont déjà eu leur tome. Kohler, Beth, Rhage et Mary sont relayé au rang de personnages secondaires, c’est dommage !
tu as mis dans on adore qui tu avait adirer sa romance avec mary mais je pense c'est Bella, non ?
RépondreSupprimerOui, tu as raison.
SupprimerJe n'avais même pas remarqué ! ^^
Merci .
de rien ^^
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