Titre en VO :Kaleb, t.1 Editeurs : Robert Laffont (Collection R) Site de l’auteur : http://www.desjours.com/ Ma note : 8/10 Quatrième de couverture : À 19 ans, Kaleb se découvre empathe : il se connecte à vos émotions pour vous manipuler. Il vous connaît mieux que vous-mêmes. Et cela le rend irrésistible. Terriblement dangereux. Parce qu'on ne peut s'empêcher de l'aimer. À la folie. À la mort. Sachez que ce qu'il vous fera, il n'en sera pas désolé. Ce don qu'il tient d'une lignée islandaise millénaire le grise. Même traqué comme une bête, il en veut toujours plus. Jusqu'au jour où sa propre puissance le dépasse et où tout bascule... Mais que peut-on contre le volcan qui vient de se réveiller ? Le premier tome d'une trilogie qui, à l'instar de la série Dexter, offre au lecteur l'un de ses fantasmes : être dans la peau du méchant. |
MON AVIS SUR LE LIVRE
Depuis sa sortie, ce roman me fait envie. Tant par son synopsis qui m’a toujours intriguée que par les « à-côté ». Je ne vous apprends pas que l’auteur est resté dans l’anonymat, se cachant sous un pseudo, pendant un bon moment. Ce n’est que très récemment que nous avons appris que Myra Eljundir était en fait l’auteur de polar Ingrid Desjours. J’ai pu la rencontrer au salon du livre et de la presse jeunesse à Montreuil en novembre dernier. Elle est déjantée et partage cette joyeuse folie avec ses lecteurs, c’est assez communicatif. C’est d’ailleurs cette rencontre qui m’a fait sauter le pas, alors que j’hésitais à mon plonger dans cette série depuis au moins deux ans.
Je ne suis d’ailleurs absolument pas déçue d’avoir enfin pu lire ce premier tome ! Je me suis laissée emportée dans l’histoire sans même m’en rendre compte. Kaleb est un personnage très intriguant, je l’ai apprécié dès le début, bien qu’il ait des traits d’anti-héro assez prononcés. Il est manipulateur, parfois cruel, mais on s’attache assez facilement à lui. Kaleb est un jeune homme perdu, en quête d’identité et d’affection, ce qui déclenche automatiquement une certaine empathie. Le mon empathie, d’ailleurs, est plutôt significatif dans cette histoire puisque c’est le pouvoir que développe le protagoniste au fil des pages.
Kaleb parvient à ressentir les émotions des autres, puis à se les approprier. Au départ, le jeune homme perçoit son don comme un parasite qui l’empêche d’avoir les idées claires, quelque chose qui l’entrave, puis il apprend à le maitriser. La mutation à laquelle on assiste est assez intéressante, c’est le cœur de l’histoire.
Ce que j’ai également beaucoup apprécié, c’est que le roman est organisé selon un point de vue plutôt omniscient. Kaleb est le personnage de l’histoire, certes, mais il n’est pas le seul qui a de l’importance. On découvre au contraire une multitude de points de vue et donc des approches différentes de l’intrigue. Les révélations tombent au fur et à mesure. On pourrait croire, d’ailleurs, qu’un tel procédé enlève son suspens à l’histoire, mais pas du tout ! Bien au contraire, notre esprit grouille de questions ! J’ai vraiment adoré cette sensation.
Le roman est par ailleurs très riche et notamment la mythologie qui est exploitée. Tout cela servi par la plume vibrante et dynamique de Myra Eljundir (ou Ingrid Desjours, c’est à vous de choisir ;)) C’est assez original, à ne pas mettre entre toutes les mains par contre, certaine scène peuvent paraitre assez choquante pour les âmes sensibles.
ON ADORE : Le personnage de Kaleb – la pluralité des points de vue – l’intrigue en elle même
ON REGRETTE : Peu de choses finalement.
Je ne suis d’ailleurs absolument pas déçue d’avoir enfin pu lire ce premier tome ! Je me suis laissée emportée dans l’histoire sans même m’en rendre compte. Kaleb est un personnage très intriguant, je l’ai apprécié dès le début, bien qu’il ait des traits d’anti-héro assez prononcés. Il est manipulateur, parfois cruel, mais on s’attache assez facilement à lui. Kaleb est un jeune homme perdu, en quête d’identité et d’affection, ce qui déclenche automatiquement une certaine empathie. Le mon empathie, d’ailleurs, est plutôt significatif dans cette histoire puisque c’est le pouvoir que développe le protagoniste au fil des pages.
Kaleb parvient à ressentir les émotions des autres, puis à se les approprier. Au départ, le jeune homme perçoit son don comme un parasite qui l’empêche d’avoir les idées claires, quelque chose qui l’entrave, puis il apprend à le maitriser. La mutation à laquelle on assiste est assez intéressante, c’est le cœur de l’histoire.
Ce que j’ai également beaucoup apprécié, c’est que le roman est organisé selon un point de vue plutôt omniscient. Kaleb est le personnage de l’histoire, certes, mais il n’est pas le seul qui a de l’importance. On découvre au contraire une multitude de points de vue et donc des approches différentes de l’intrigue. Les révélations tombent au fur et à mesure. On pourrait croire, d’ailleurs, qu’un tel procédé enlève son suspens à l’histoire, mais pas du tout ! Bien au contraire, notre esprit grouille de questions ! J’ai vraiment adoré cette sensation.
Le roman est par ailleurs très riche et notamment la mythologie qui est exploitée. Tout cela servi par la plume vibrante et dynamique de Myra Eljundir (ou Ingrid Desjours, c’est à vous de choisir ;)) C’est assez original, à ne pas mettre entre toutes les mains par contre, certaine scène peuvent paraitre assez choquante pour les âmes sensibles.
ON ADORE : Le personnage de Kaleb – la pluralité des points de vue – l’intrigue en elle même
ON REGRETTE : Peu de choses finalement.
Je l'ai fini il y a peu, je viens de m'acheter le second tome car l'histoire m'intrigue vraiment, j'ai hâte de savoir comment cela va se poursuivre. J'avoue ne pas avoir accroché à l'écriture, mais l'histoire et les personnages ( hors colonel ) prévalent largement sur le reste! ^^
RépondreSupprimerC'est vraiment cool qu'il t'ait plut!
ce livre à l'air vraiment Bien!
RépondreSupprimerPs: Pourrais tu me dire comment tu fais pour faire des rubriques sur ton blog, je n'y arrive pas ! Bisous♥