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lundi 21 mai 2012

Lili bouquine : La salle de bain du Titanic de Véronique Ovaldé

Titre en VO : La salle de bains du Titanic
Editeurs : J’ai lu
Site de l’auteur :
/
Ma note : 5/10
Quatrième de couverture : Vienna aimerait vraiment redevenir toute petite fille.
Juste avant l’été de ses six ans. L’été où elle s’est perdue dans les dunes. Et où un homme l’a finalement ramenée à ses parents.
Elle voudrait revenir avant. Avant où les choses se sont gâtées. Et où le monde à changé sa révolution…

MON AVIS SUR LE LIVRE


Tout d’abord, j’aimerais remercier Livraddict, ainsi que les éditions J’ai lu pour m’avoir permis de découvre ce livre.

Véronique Ovaldé, que je ne connais que de réputation, nous propose ici trois nouvelles, trois histoires qui sont en faite des bribes de la vie tourmentée de son personnage : Vienna. J’avoue, comme beaucoup, avoir été intriguée par la quatrième de couverture. Vienna aimerait redevenir petite fille, revenir à l’été de ses six ans, ou du moins avant. Le fameux été qui a bousculé sa vie à jamais. Pourquoi ? Que s’est-il produit à ce moment là ? Que lui est-il arrivé ? À l’heure qu’il est je ne peux toujours pas vous répondre car c’est là tout l’enjeu de ce recueil. Tout est suggéré, cette histoire repose entièrement sur les non-dits et l’insinuation. Et c’est d’ailleurs justement choisi car Vienna incarne une victime – victime de quoi ? Là aussi, on ne peut qu’essayer de le deviner, de lire entre les lignes, impossible d’affirmer quoi que ce soit – qui se tait. Elle garde son malheur pour elle, cache ce qu’il lui est arrivé l’été de ses six ans, et par son style, Véronique parvint à transmettre ce douloureux silence.

En évoquant le style de l’auteure, voilà deux, trois choses que j’aimerais dire. Certes, Véronique Ovaldé est douée dans son genre, je dois bien le reconnaître. Sa plume est exactement comme son personnage : torturée. Il s’en dégage une certaine poésie, c’est indéniable mais les mots sont comme écorchés vifs, ils font presque mal, ils dérangent et pour ma part, je n’ai pas trouvé beaucoup de plaisir à les lire. Je dirais que ce recueil est comme du bon vin, on ne l’apprécie qu’après l’avoir avalé. Néanmoins je reste très mitigée.

Notamment à propos de la première nouvelle, Tous ceux qui n’ont pas de nombril sont des martiens, que j’aurais plutôt appelé « La nouvelle sans queue ni tête » pour ma part, on serait au moins restés dans le thème aquatique déjà très présent dans le livre. Je me moque, mais ce n’est pas là où je souhaite en venir. J’ai trouvé cette ouverture très brouillonne, un peu fouillis. Des mots, des phrases, jetés sur une feuille blanche et qui tentent vainement de former un ensemble cohérent. Cette nouvelle traite de cet été qui a changé à jamais la vie de Vienna, et si ce choix stylistique peut s’expliquer par le tourment du personnage, le résultat ne m’a pas séduite. J’ai eu énormément de mal à remettre les choses dans le bon ordre et à comprendre où l’auteure cherchait à m’emmener. On a la sensation que l’auteure nous livre ses pensées sans filtre, elles sont brutes et parfois tranchantes. Elles mettent mal à l’aise. Ajoutez à cela l’atmosphère générale du recueil, assez glauque, noir, néfaste, comprenez que cette lecture est assez lourde.

Cependant, il y a une des trois nouvelles, la dernière, intitulée La salle de bains du Titanic et qui donne justement son nom au recueil, où ces éléments ne m’ont pas dérangés. Au contraire, ils profitent à cette ultime petite histoire. Ils créent un climat très approprié, d’effroi et d’angoisse. Le lecteur anticipe forcément ce qu’il va se produire sous ses yeux, et en temps que spectateur, il ne peut agir, tout en comprenant très clairement de quoi il va en retourner. On assiste, sans pouvoir faire quoi que ce soit, au naufrage de cette pauvre Vienna.

J’utilise le terme de naufrage en référence au titre La salle de bains du Titanic, bien sûr. C’est une métaphore que nous propose ici Véronique Ovaldé, elle nous rend témoins de la descente aux abysses de son personnage et sa dernière nouvelle est comme la dernière pression sur la tête, cette main ferme qui nous maintient la figure dans l’eau jusqu’à ce que l’on se noie finalement. C’est effrayant, vraiment. En dehors du titre, on retrouve un thème aquatique très présent dans ce recueil. La couverture, déjà, peut nous mettre sur la voie, on y retrouve des vagues en fond. Une déferlante qui s’intensifie pour devenir gigantesque, comme un tsunami monstrueux qui viendrait tout rafler sur son passage. Le tsunami dans cette histoire, c’est ce fameux été. « L’été où », qui vient ravager l’existence de cette petite fille de six ans. Chaque nouvelle vient alimenter cette vague destructrice, pour nous exploser au visage dans la dernière.

Je ne nie pas les qualités de ce texte, je vous en ai d’ailleurs exposé plusieurs, néanmoins, comme je l’ai dit, je n’ai pas passé un agréable moment à la lecture, ce qui me rend si mitigée.

ON ADORE : L’angoisse que génère la troisième nouvelle.
ON REGRETTE : La plume un peu écorchée de l’auteure, l’univers trop glauque et dérangeant.


samedi 12 mai 2012

Lili bouquine : Un Jour de David Nicholls

Titre en VO : One day
Editeurs : 10/18, initialement chez Belfond
Site de l’auteur :
http://www.davidnichollswriter.com/home
Ma note : 10/10
Quatrième de couverture : 15 juillet 1988. Emma et Dexter se rencontrent pour la première fois. Tout les oppose, pourtant ce jour marque le début d'une relation hors du commun. Pendant vingt ans, chaque année, ils vont se croiser, se séparer et s'attendre, dans les remous étourdissants de leur existence. Un conte des temps modernes ou la splendeur d'aimer a fait chavirer le monde entier.

MON AVIS SUR LE LIVRE


Un jour…j’ai entendu parler de ce livre sur le blog de Chez Jess Livraddict. Un jour…je me suis arrêtée en librairie pour y lire sa quatrième de couverture. Un jour…j’ai craqué, et il a rejoint ma PAL. Un jour…il a commencé à me faire sacrément de l’œil, là poser dans ma bibliothèque. Un jour…je me suis enfin décidée à le lire. Un jour…je n’ai plus été capable de lâcher ses pages des yeux. Un jour…il m’a fait rire, pleurer, rêver, fantasmer. Un jour…j’ai refermé ce livre avec cette drôle d’impression que me hantait. Sans pouvoir les expliquer, Un Jour de David Nicholl a fait naitre des sentiments contradictoires en moi. Heureux, mais tristes à la fois. C’est un livre merveilleux, bourré d’humour, un livre pour lequel on verse des larmes de joies autant que de tristesse, un récit de vie à part entière avec les bonnes situations, comme les mauvaises. Un roman qui fait réfléchir, grandir aussi peut-être.

Un Jour C’est l’histoire de deux personnages : Dexter et Emma, qui se rencontre à 22 ans, le 17 Juillet 1988, alors qu’ils viennent d’obtenir leur diplôme. Ils passent la nuit à refaire le monde, à échanger leurs idéaux et à imaginer leur avenir mutuel. C’est à ce moment là que le lien se tisse entre eux et qui, d’année en année, se solidifie. Malgré les aléas qui menacent de le déchirer à plusieurs reprises, ce lien perdure, et sera toujours là entre eux, comme une évidence. Le nez au milieu de la figure qu’ils tarderont à remarquer l’un, l’autre, mais dont ils ne pourront plus se détacher, une fois que leur attention se sera concentrer dessus. Durant 20 ans, ils se sont rapprochés, éloignés, déchirés, aimés…Ce sont des âmes sœurs. À eux maintenant, de s’en rendre compte.

Ces personnages, que l’on suit intimement tout du long, sont la grande force du roman. Antihéros au possible, ils parviennent tout de même à percer notre cœur et à s’y faire une petite place. On s’attache à eux, indéniablement, prenant en compte leurs qualités comme leurs défauts. David Nicholls, tout en utilisant un récit à la 3eme personne, est parvenu à créer un lien entre ses personnages et le lecteur, et c’est sur ce point là que je lui tire mon chapeau. Chaque évènement de leur vie respective nous touche, car, bien que n’étant que simple témoin, on vit tout cela au plus proche de la scène. On est absorbés dans le roman, presque littéralement, et tout ce qui arrive à nos deux héros nous affecte obligatoirement. De plus, ces personnages, comme je l’ai dit plus haut, sont loin d’être parfaits, tout comme nous au fond. Aucun être humain n’est parfait, il est au contraire truffé de défaut, ainsi, on se reconnaît facilement dans l’un des deux protagonistes, voire même dans les deux.
Dexter, fils à papa, arrogant en toutes circonstances, débordant de confiance en lui, nombriliste, extravagant, se vautrant jusqu’au cou dans la démesure et la débauche, peut nous paraître comme le plus détestable des deux si l’on ne regarde que la carapace qu’il se forme. Pour ma part, c’est celui qui m’a le plus touchée, car on voit bien qu’il n’est pas si confiant qu’il ne le laisse voir. Il mise tout sur l’apparence pour masquer une certaine souffrance, et c’est en cela que j’ai beaucoup aimé son personnage. D’autant que son amitié avec Emma le bonifie, à son contacte, il devient honnête, vrai et j’aime ce Dexter là. Même s’il peut se montrer exécrable, et le mot est faible, par certains moments.
Emma, quant à elle, est quelqu’un de beaucoup plus réservé que Dexter. Elle garde bien enfoui en elle tout ce qu’elle pense, tout ce qu’elle désire et s’enferme elle-même et se laisse ainsi entrainer dans un cercle vicieux. Elle a des rêves plein la tête, elle souhaite notamment devenir écrivain et changer le monde par le biais de la littérature, c’est une personne très créative ou du moins qui pourrait l’être si elle osait se lancer. Emma m’apparaît comme une fleur qui mettrait énormément de temps à éclore, mais qui, une fois tous ses pétales déployés, est simplement somptueuse.
Ils ont des caractères littéralement opposés mais ils se complètent magnifiquement. Ils incarnent deux personnages nés pour se trouver, ils sont comme les deux faces d’une même pièce et ne sont heureux que lorsqu’ils sont ensembles. Un Jour est une formidable histoire, profondément humaine, un formidable témoignage d’amitié, une déclaration d’amour. Presque un poème, une ode à la vie.

J’ai beaucoup aimé également la manière dont David Nicholls a choisi de nous exposer son histoire : il a déterminé un jour, le 15 Juillet, et nous a raconté l’histoire de ses personnages en se référant à ce 15 Juillet de chaque année. Tous les ans, à cette date, le lecteur retrouve Dex et Em, Em et Dex (référence à une appellation récurrente dans le livre ;)) et observe ce qu’il est advenu d’eux. Ce procédé nécessite forcément des ellipses, et certains éléments importants sont parfois passés sous silence, néanmoins cela ne gène en rien la compréhension du récit, et d’autre part, cela lui donne bien plus de vraisemblance. En effet, tous les évènements importants de leur vie ne peuvent pas tous avoir lieu un 15 Juillet, ce serait insensé ! Autrement dit, David Nicholls a su bien mener sa barque, et possède un talent indéniable pour les histoires d’amour. On en redemande !

ON ADORE : Les 15 Juillet ! Dex et Em, leur relation.
ON REGRETTE : Quelque chose que je ne peux malheureusement pas vous dévoiler sans gâcher votre lecture…


mardi 28 février 2012

Lili bouquine : La fille de papier de Guillaume Musso


Titre en VO : La fille de papier
Editeurs : Pocket
Site du livre/de l’auteur :
http://www.guillaumemusso.com/
Ma note : 10/10
Quatrième de couverture : Quand la vie ne tient plus qu'à un livre !
« Trempée jusqu'aux os et totalement nue, elle est apparue sur ma terrasse au beau milieu d'une nuit d'orage.
- D'ou sortez-vous ?
- Je suis tombée.
- Tombée d'ou ?
- Tombée de votre livre. Tombée de votre histoire, quoi ! »
Tom Boyd, un écrivain célèbre en panne d'inspiration, voit surgir dans sa vie l'héroïne de ses romans. Elle est jolie, elle est désespérée, elle va mourir s'il s'arrête d'écrire. Impossible ? Et pourtant ! Ensemble, Tom et Billie vont vivre une aventure extraordinaire ou la réalité et la fiction s'entremêlent et se bousculent dans un jeu séduisant et mortel...

MON AVIS SUR LE LIVRE


Ce livre ne peut décemment pas laisser indiffèrent quiconque écrit des histoires ou bien aime les lires. Sublimées par la plume de Guillaume Musso, les aventures de Tom Boyd, écrivain en mal d’amour qui ne parvint plus à produire la moindre ligne, et de Billie, jeune femme intrigante et à la répartie décapante qui prétend être un des personnages des livres de Boyd, nous entrainent corps et âme dans tourbillon de mots, de pensées entremêlées. Il est clair qu’on n’en ressort pas indemne.

Très sincèrement, je ne pensais pas être à ce point emballée par un livre de Guillaume Musso, auteur au sujet duquel je nourrissais beaucoup d’a priori. Il a su me surprendre, autant pas la finesse de sa plume – de la pure poésie ! – que par la perspicacité de ses idées. Il parvint à donner une véritable teneur à ses personnages, il les rend presque palpables. Ainsi le lecteur s’implique davantage dans ce qui leur arrive. Moi même j’ai prit part à cette quête que poursuit Tom Boyd dans La fille de papier, non seulement pour retrouver l’auteur en lui, mais surtout l’homme. Un travail sur soi-même qu’on est tous forcé de faire un jour ou l’autre, c’est l’une des raisons pour lequel ce livre m’a profondément touché. Je suis passée par un panel d’émotions tout au long de ma lecture, des rires aux larmes, de la colère à la joie…un pur bonheur. Je pensais vraiment pas faire partie du public que vise Guillaume Musso, mais je dois bien me rendre à l’évidence, on a tous besoin, à un moment donné, de ce genre d’histoire, bourrée d’humanité qui réchauffe le cœur, qui nous fait réfléchir et dont on en ressort avec le sourire. Ce livre est pratiquement une thérapie, du moins, je l’ai moi même interprété comme cela.

Certains y trouveront peut-être quelques longueurs, mais je trouve qu’elles sont nécessaires. Guillaume Musso a besoin ici de nous faire vivre avec son personnage, chaque étape de son périple, chaque petite bribe de sa vie, pour qu’on le comprenne mieux. Cela le rend plus vivant, plus humain. Comme s’il existait vraiment…et que, lui aussi, à l’instar de Billie, avait la possibilité de s’extirper d’un roman et de « tomber » dans la réalité, pour reprendre l’expression utilisée dans le récit.

Parlons maintenant de l’intrigue, elle est extrêmement bien ficelée. Et puis on ne peut pas, ici, parler de prévisibilité, on ne se doute absolument pas de ce qu’il va se dérouler dans les pages suivantes, et on est très souvent surprit par la tournure que prend les choses. Et la fin ! La fin est sans doute la meilleure surprise que j’ai eue dans ce livre ! Hélas, je ne peux vous en dévoiler plus, ce serait moche de ma part que de vous gâcher la lecture ! J’ai tellement adoré ce final que je m’en voudrais de vous mâcher ce petit plaisir !

Sincèrement, je ne trouve rien à redire à propos de ce livre. J’ai été époustouflée du début à la fin et le mieux dans tout cela est que je ne m’y attendais pas le moins du monde. Si l’on m’avait dit un peu plus tôt qu’un livre de Guillaume Musso, auteur que l’on compare bien souvent, et à tort, à Marc Levy – que je n’aime absolument pas – , j’aurais probablement ri. Comme quoi, cela m’apprendra à ne juger un livre que par sa couverture…

ON ADORE : Le style, les personnages, la manière dont Musso raconte son histoire et la fin ! Un final grandiose !
ON REGRETTE : Rien du tout.


vendredi 30 septembre 2011

Lili bouquine : Le Scandale Modigliani, de Ken Follett




Titre en VO : The Modigliani scandal
Ma note : 6,5/10
Quatrième de couverture : Ils ont entendu parler d’un fabuleux Modigliani perdu et sont prêts à tout pour mettre la main dessus ; une jeune étudiante en histoire de l’art dévorée d’ambition, un marchant de tableaux peu scrupuleux et un galeriste en pleine crise financière et conjugale…
Sans compter quelques faussaires, ingénieux et une actrice venant allégrement pimenter une course poursuite échevelée.
Qui sortira vainqueur de cette chasse au trésor menée tambour battant, de Paris à Rimini, en passant par quelques quartiers huppés huppés de Londres ?



MON AVIS SUR LE LIVRE
Mon premier Ken Follett ! J’étais jusqu’alors très intriguée par cet auteur et je l’ai découvert avec ravissement. Une plume majestueuse, précise et fluide comme de l’eau de roche, un vrai bonheur pour les yeux et pour l’intellect également ! En effet, on apprend tout un tas de choses à mesure que l’on lit et j’ai trouvé cela très enrichissant.

Ken Follett est un connaisseur en terme d’Histoire, ainsi qu’en Histoire de l’Art, et cela se ressent ! Il dépeint le monde de l’art avec une telle précision qu’on s’y croirait presque. Comme immergé dans ce monde, on se met facilement à la place des personnages dont il fait le portrait. Des personnages aux identités bien défini et extrêmement bien reconstruit. Ca se lit comme on regarde un film. Comme si les images défilaient seulement sous nos yeux.

L’histoire est intéressante, et prenante. Le suspens est assez présent. Néanmoins, je lui trouve quelques défauts qui font que le livre ne m’a pas complètement séduite. D’abord, l’auteur introduit, selon moi, trop de personnages différents. On s’y perd, cela ne facilite pas vraiment la compréhension de l’histoire. Les différentes intrigue se mélanges, on ne s’y retrouve plus, j’ai, pour ma part, trouver cela quelque peu désagréable. Certains éléments, voire même certains personnages m’ont parut inutiles pour l’avancée de l’histoire. Comme une impression de fioriture.

D’autre part, j’ai trouvé que l’action, à un moment donné de l’histoire, se détournait un peu de l’affaire Modigliani – qui a priori était le sujet principal du roman – pour laisser une place majoritaire à l’affaire des faussaires d’art. Cela n’a eu que l’effet de me perdre davantage (je n’avais pourtant pas besoin de ça, la diversité des personnages s’en chargeait déjà plutôt bien !) En sommes, on ne voit intervenir ce fameux Scandale de Modigliani que durant les derniers chapitres. Je trouve ça dommage.

Malgré ces quelques défauts, ma lecture fut agréable et je ne peux que vous conseiller ce petit bouquin. Si vous aimé l’art et souhaitez en connaître d’avantage sur ce monde ci, n’hésitez pas !

ON ADORE : l’immersion complète dans le monde de l’art !
ON REGRETTE : Le dédoublement (voir triple) de l’intrigue, la trop grande diversité de personnages qui fait que l’on se perd un peu dans l’histoire