Prête pour le week-end à 1000, j'établis une Pile à lire assez large pour pioché dedans au gré de mes envie. Le week-end à 1000 est sur le point de débuter !
vendredi 31 mai 2013
WEEK-END À 1000 - session 2 : Le suivi lecture !
jeudi 23 mai 2013
Lili bouquine : L'Ecole de la nuit de Deborah Harkness
Titre en VO :Shadow of night Editeurs : Orbit (Calmann-Lévy) Site de l’auteur : http://deborahharkness.com/ Ma note : 10/10 Quatrième de couverture : L'historienne Diana Bishop, issue d'une lignée de sorcières puissantes et le vampire Matthew Clairmont ont violé les lois de séparation des créatures. Lorsque Diana a découvert un manuscrit alchimique magique à la Bodleian Library, elle a déclenché une lutte dans laquelle elle est devenue liée à Matthew. Maintenant la coexistence fragile entre sorcières, démons, vampires et humains est dangereusement menacée.
Cherchant la sécurité, Diana et Matthew ont voyagé dans le temps pour se retrouver à Londres, en 1590. Mais ils réalisent vite que le passé n'est un havre de paix. Retrouvant son ancienne identité en tant que poète et espion de la reine Elizabeth, le vampire retombe avec un groupe de radicaux connus sous le nom de l'École de la Nuit. Beaucoup sont des démons rebelles, les esprits créatifs de l'âge, dont le dramaturge Christopher Marlowe et mathématicien Thomas Harriot.
Ensemble Matthieu et Diana chercheront le Londres des Tudor pour trouver le manuscrit insaisissable, l'Ashmole 782, et la sorcière qui va enseigner à Diana comment contrôler ses pouvoirs remarquables.
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MON AVIS SUR LE LIVRE
Vous vous souvenez peut-être de mon enthousiasme à l’égard du Livre perdu des sortilèges de Deborah Harkness, que je découvrais fin Décembre dernier et que je plaçais automatiquement parmi mes plus grands coup de cœur de 2012 . La suite, L’école de la nuit a su me séduire de la même manière, voire même davantage.
Ce second tome est une suite directe du premier, et grâce à une ouverture in medias res, on nous plonge instantanément dans l’action. À la fin du Livre perdu des sortilèges, les protagonistes, Diana et Matthew, entreprenaient un voyage dans le temps afin d’aider Diana à comprendre le fonctionnement de ses propres pouvoirs, mais aussi de trouver plus d’informations sur l’Ashmole 782 toujours disparu et de comprendre la force de l’union du couple que forment les personnages principaux. Dès les premières pages de L’Ecole de la nuit nous sommescatapultés à Londres, au beau milieu de l’an 1590 où Matthew, notre vampire, a déjà vécu. Je suis particulièrement friande des voyages dans le temps, ils m’a toujours fascinés et j’aime les voir exploités dans la littérature. D’autant plus que la maitrise du contexte historique par l’auteure ajoute un éclat très réaliste sur le roman . On se croirait réellement au cœur de l’Angleterre Élisabéthaine – sans risquer d’attraper la peste ou que sais-je ? Le beurre et l’argent du beurre comme on dit, ce n’est pas beau ? –, en outre, l'époque nous est exposée à travers le regard de Diana, une jeune femme contemporaine comme nous, lecteur, qui devra s’adapter aux uses et coutumes de l’époque.
Malgré son doctorat en histoire, Diana se trouve bien des fois déconcertée. Les normes physiques de l’époque notamment lui causeront en premier lieu des problèmes. En effet, sa taille toute contemporaine détonne avec celle des femmes du XVIe, très menues. On la prend pour une armoire à glace, d’origine allemande peut-être – apparemment, les allemandes avaient la réputation d’être gigantesques et peu gracieuses – ce qui provoque au départ quelques railleries à son égard. Son accent également, très américain, paraît étranger aux gens de l’époque.Diana va aussi devoir apprendre à être une femme du XVIe siècle , ce qui échaude au départ la femme indépendante du XXIe siècle qu’elle incarnait jusqu’alors.
Il est d’ailleurs intéressant de constater la manière dont l’époque dans laquelle ils sont propulsés va s’infiltrer en eux, à la fois les dévier de leur route principale et en ouvrir d’autres. Aussi contradictoire que cela puisse paraitre,ils apprendront mieux l’un de l’autre dans l’Angleterre de la fin du XVIe siècle que dans l’époque à laquelle ils se sont rencontrés .
Diana évolue notamment beaucoup dans L’Ecole de la nuit, en tant que femme et en tant que sorcière. Elle se révèle à mesure de l’avancée de l’histoire, car si au départ, elle se rattachait à Matthew comme son seul repère dans un univers qu’elle ne connaissait pas, elle prend petit à petit son envole et emprunte le chemin qui la métamorphosera en la femme qu’elle était destinée à devenir. Au cœur d’un siècle où les femmes devaient une soumission respectueuse aux hommes,Diana s’émancipe bien plus qu’au XXIe siècle. Elle prend des décisions conséquentes pour son avenir, en apprend davantage sur sa magie, sur son passé et sur l’homme qu’elle aime également. Car Diana n’est pas la seule chez qui s’opère un curieux changement.
Matthew, dont on ne savait pas grand chose jusqu’alors, est rattrapé par son propre passé. Son caractère mue et devient assez énigmatique, notamment aux yeux de son épouse Diana.On découvre le vampire sous un autre jour , et lui même ne s’était pas attendu à une telle transformation. Ce tome nous dévoile de nombreux secrets que le personnage gardait alors bien enfouis en lui, on entre dans son univers, et avons un aperçu de cette part d’ombre dont il parle souvent. Diana, elle-même, apprend à connaître son mari et cette situation, d’ailleurs, va secouer leur couple à plusieurs reprises. Ils auront à traverser un certain nombre n’épreuves durant ce second tome, mais n’en ressortiront que plus forts.
Le voyage dans le temps est ici remarquablement exploité, c’est une véritable plongée dans l’Histoire. On y retrouve un univers concret – Diana, elle-même historienne constate que le passé n’est pas du tout comme il est raconté dans les livres, cette constatation rend l’aventure vraiment réelle et s’éloigne ainsi de la fable –, on y rencontredes personnages ayant existés comme Christopher Marlowe, Elisabeth Ier d’Angleterre, William Shakespeare pour ne citer que les plus connus. La découverte du XVIe siècle est également assez variée, puisque les personnages voyagent et nous montrent ainsi une plus vaste étendue de l’époque, puisque chaque emplacement géographique est régit par ses propres règles et selon un mode de vie bien précis. On vit différemment à Londres et au cœur de l’Auvergne, ou encore à Prague. Cette dimension du roman m’a semblée très intéressante.
On remarque également dans L’Ecole de la nuit une duplicité des intrigues. Certes, Diana et Matthew avaient entrepris ce voyage dans le temps avec un but très précis, mais en ont été plus ou moins déviés au fil de l’histoire. Ils sont confrontés à des problèmes qu’ils n’avaient alors pas envisagés et doivent en premier lieu les résoudre avant de se consacrer à leur quête initiale.
C’est unroman excellent qui suit la lignée du premier volume. On y trouve autant de rigueur dans le maniement de l’intrigue et des rebondissements , autant de maitrise dans les sujets exposés, autant de perfectionnement dans l’élaboration de l’univers et des personnages. C’est une perle ! Je le conseille à quiconque aime l’Histoire, le genre fantastique et les intrigues complexes et travaillées.
ON ADORE : La documentation de l’auteur – la plongée au XVIe siècle – les personnage et leur évolution – les différentes intrigues auxquelles ils sont confrontées – la plume de l’auteure. ON REGRETTE : Quelques légères longueurs peut-être ?
Ce second tome est une suite directe du premier, et grâce à une ouverture in medias res, on nous plonge instantanément dans l’action. À la fin du Livre perdu des sortilèges, les protagonistes, Diana et Matthew, entreprenaient un voyage dans le temps afin d’aider Diana à comprendre le fonctionnement de ses propres pouvoirs, mais aussi de trouver plus d’informations sur l’Ashmole 782 toujours disparu et de comprendre la force de l’union du couple que forment les personnages principaux. Dès les premières pages de L’Ecole de la nuit nous sommes
Malgré son doctorat en histoire, Diana se trouve bien des fois déconcertée. Les normes physiques de l’époque notamment lui causeront en premier lieu des problèmes. En effet, sa taille toute contemporaine détonne avec celle des femmes du XVIe, très menues. On la prend pour une armoire à glace, d’origine allemande peut-être – apparemment, les allemandes avaient la réputation d’être gigantesques et peu gracieuses – ce qui provoque au départ quelques railleries à son égard. Son accent également, très américain, paraît étranger aux gens de l’époque.
Il est d’ailleurs intéressant de constater la manière dont l’époque dans laquelle ils sont propulsés va s’infiltrer en eux, à la fois les dévier de leur route principale et en ouvrir d’autres. Aussi contradictoire que cela puisse paraitre,
Diana évolue notamment beaucoup dans L’Ecole de la nuit, en tant que femme et en tant que sorcière. Elle se révèle à mesure de l’avancée de l’histoire, car si au départ, elle se rattachait à Matthew comme son seul repère dans un univers qu’elle ne connaissait pas, elle prend petit à petit son envole et emprunte le chemin qui la métamorphosera en la femme qu’elle était destinée à devenir. Au cœur d’un siècle où les femmes devaient une soumission respectueuse aux hommes,
Matthew, dont on ne savait pas grand chose jusqu’alors, est rattrapé par son propre passé. Son caractère mue et devient assez énigmatique, notamment aux yeux de son épouse Diana.
Le voyage dans le temps est ici remarquablement exploité, c’est une véritable plongée dans l’Histoire. On y retrouve un univers concret – Diana, elle-même historienne constate que le passé n’est pas du tout comme il est raconté dans les livres, cette constatation rend l’aventure vraiment réelle et s’éloigne ainsi de la fable –, on y rencontre
On remarque également dans L’Ecole de la nuit une duplicité des intrigues. Certes, Diana et Matthew avaient entrepris ce voyage dans le temps avec un but très précis, mais en ont été plus ou moins déviés au fil de l’histoire. Ils sont confrontés à des problèmes qu’ils n’avaient alors pas envisagés et doivent en premier lieu les résoudre avant de se consacrer à leur quête initiale.
C’est un
ON ADORE : La documentation de l’auteur – la plongée au XVIe siècle – les personnage et leur évolution – les différentes intrigues auxquelles ils sont confrontées – la plume de l’auteure. ON REGRETTE : Quelques légères longueurs peut-être ?
mercredi 22 mai 2013
CHALLENGE : Top ten tuesday du 21 Mai 2013
Eh non ! Je n'ai pas abandonné le concept du TOP TEN TUESDAY. J'ai manqué d'assiduité ces trois dernières semaines, mais me revoici ! Fraiche comme un gardon dans une source d'eau claire ! Pour vous remémorer un peu le principe du TOP TEN TUESDAY, il s'agit d'un top 10 que l'on élabore selon une liste donnée par l'organisatrice du Top Ten Tuesday français, Iani (initialement inventé en anglais par The Broke and the Bookish). Cette semaine, nous devions nous baser sur le thème suivant : Les 10 livres vers lesquels on se tourne lors qu'on recherche une lecture légère. Je vous laisse regarder en vidéo les 10 livres que j'ai choisi ;)
samedi 18 mai 2013
WEEK-END À 1000 - Rejoignez-nous !
Voici un petit spot en vidéo pour vous présenter le week-end à 1000, challenge littéraire que j'organise sur mon blog. Il a été réalisé grâce à la collaboration de :
Katia : http://quelques.pages.cowblog.fr/
BulleDop : http://bulledop-bouquine.blogspot.fr/
Séverine : http://toute-la-lecture-de-sev.skyrock.com/
Everbook : http://bookablok.blogspot.fr/
Liniebook : http://debookaoreille.blogspot.fr/
Candyshy : http://auboudoirdecandyshy.over-blog.com/
Plus on est de fous, plus on rit, alors rejoignez-nous nombreux !
vendredi 17 mai 2013
Lili bouquine : Attirance, t.1 "Le baiser des sirènes" de Anne Greenwood Brown
Titre en VO : Lies beneath Editeurs : Milan Macadam Site de l’auteur : http://annegreenwoodbrown.com/ Ma note : 9/10 Quatrième de couverture : Lily pensait que son petit ami était un type normal. Mais Calder cache un terrible secret : il fait partie d’une fratrie de sirènes meurtières, qui puisent leur énergie vitale des humains en leur ôtant la vie. Calder et ses sœurs n’ont qu’un but : venger la mort de leur mère en tuant le coupable. Et cet homme n’est autre que le père de Lily…
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MON AVIS SUR LE LIVRE
Attirance : le baiser des sirènes de l’auteur américaine Anne Greenwood Brown m’a tout de suite fait de l’œil de part le thème peu commun qu’il aborde. En effet, dans la littérature fantastique actuelle, nous voyons beaucoup de sorciers, de vampires, de loup-garous, les anges eux aussi commencent à se faire une place, mais peu de sirènes finalement. Alors qu’à mon sens elles sont des créatures fascinantes.
Loin de l’image un peu fleur bleue que nous sert Disney avec La petite sirène, les créatures de ce roman sont interprétées comme des prédatrices redoutables. Elles sont sublimes certes, mais la beauté de leurs traits est ainsi pour mieux attirer leur proie à l’eau et les noyer. Pour survivre, les sirènes ont ici besoin de se nourrir des émotions des humains. Elles peuvent, bien sur, se serrer la ceinture et ne pas se nourrir pendant un moment, mais l’instant de prendre une vie est inévitable, elles sont donc forcées de tuer quel que soit leur choix. Elles ne sont pas dotés de pouvoirs particuliers si ce n’est celui de se métamorphoser, soit en humain, soit en sirène, la faculté de demeurer sous l’eau indéfiniment, de nager extrêmement vite et de charmer les humains.
Anne Greenwood Brown approfondit toutefois la mythologie qui les entoure. Notamment en ce qui concerne leur mode de vie, la longévité de leur existence, la manière dont elle doivent se nourrir et dont elles naissent. L’auteure reprend des éléments typiques du mythe de la sirène tout en les réarrangeant à sa sauce. Elle s’approprie réellement ce monde et créer des personnages originaux.
Calder, notre protagoniste, est un triton. L’histoire de Attirance nous est racontée à la première personne selon son point de vue. Un procédé que j’ai particulièrement aimé. Ainsi, on est directement plongé dans l’univers surnaturelle du roman, Calder nous dévoile son quotidien, nous parle de ses sœurs sirènes et de la relation qu’il entretient avec ces dernières. On découvre entièrement son monde avant que la véritable intrigue ne commence. C’est une approche que j’ai trouvé particulièrement intéressante puisqu’elle diffère de celles que l’on a l’habitude de trouver, dans la littérature Young-Adult notamment. Le schéma traditionnel de la jeune fille, plus ou moins naïve, qui tombe sous le charme du garçon aux sombres secrets n’est pas réellement reprit ici, ou du moins sous un angle différent. Cette façon de faire m’a beaucoup plus, cela ajoute de l’originalité à l’histoire.
En dehors de cela, le point de vue de Calder nous permets de prendre conscience de sa remise en question qui est le point clef de l’intrigue. Triton depuis quarante ans, Calder va découvrir un part d’humanité en lui, il choisira ou non de lui laisser prendre de la place dans sa vie, c’est tout l’intérêt du roman.
Le personnage de Lily également est intéressant, elle n’a, en effet, pas la langue dans sa poche. Elle a des idées bien à elle et les défend. C’est une jeune fille courageuse, ambitieuse et qui a beaucoup de caractère. On se sent proche d’elle, finalement, bien qu’on ne nous la décrive que par l’œil de Calder.
L’intrigue en elle-même est également assez intéressante, bourrée de suspens. Bien que tout paraisse relativement calme au début, et pendant un long moment en suivant, l’expression « se méfier de l’eau qui dort » me semble tout à fait approprié ici pour décrire le déroulement de l’histoire d’Attirance. Anne Greenwood Brown signe ici un roman Young-Adult qui sort des sentiers battus et qui a du peps à revendre. Des personnages attachants et profonds, une histoire palpitante et un univers peu commun que l’on se plait à découvrir ! Je vous le recommande chaudement.
ON ADORE : Le point du vue du personnage de Calder – le thème de sirène – l’intrigue – la relation des deux personnages principaux ON REGRETTE :
une légère lenteur au début du roman.
Loin de l’image un peu fleur bleue que nous sert Disney avec La petite sirène, les créatures de ce roman sont interprétées comme des prédatrices redoutables. Elles sont sublimes certes, mais la beauté de leurs traits est ainsi pour mieux attirer leur proie à l’eau et les noyer. Pour survivre, les sirènes ont ici besoin de se nourrir des émotions des humains. Elles peuvent, bien sur, se serrer la ceinture et ne pas se nourrir pendant un moment, mais l’instant de prendre une vie est inévitable, elles sont donc forcées de tuer quel que soit leur choix. Elles ne sont pas dotés de pouvoirs particuliers si ce n’est celui de se métamorphoser, soit en humain, soit en sirène, la faculté de demeurer sous l’eau indéfiniment, de nager extrêmement vite et de charmer les humains.
Anne Greenwood Brown approfondit toutefois la mythologie qui les entoure. Notamment en ce qui concerne leur mode de vie, la longévité de leur existence, la manière dont elle doivent se nourrir et dont elles naissent. L’auteure reprend des éléments typiques du mythe de la sirène tout en les réarrangeant à sa sauce. Elle s’approprie réellement ce monde et créer des personnages originaux.
Calder, notre protagoniste, est un triton. L’histoire de Attirance nous est racontée à la première personne selon son point de vue. Un procédé que j’ai particulièrement aimé. Ainsi, on est directement plongé dans l’univers surnaturelle du roman, Calder nous dévoile son quotidien, nous parle de ses sœurs sirènes et de la relation qu’il entretient avec ces dernières. On découvre entièrement son monde avant que la véritable intrigue ne commence. C’est une approche que j’ai trouvé particulièrement intéressante puisqu’elle diffère de celles que l’on a l’habitude de trouver, dans la littérature Young-Adult notamment. Le schéma traditionnel de la jeune fille, plus ou moins naïve, qui tombe sous le charme du garçon aux sombres secrets n’est pas réellement reprit ici, ou du moins sous un angle différent. Cette façon de faire m’a beaucoup plus, cela ajoute de l’originalité à l’histoire.
En dehors de cela, le point de vue de Calder nous permets de prendre conscience de sa remise en question qui est le point clef de l’intrigue. Triton depuis quarante ans, Calder va découvrir un part d’humanité en lui, il choisira ou non de lui laisser prendre de la place dans sa vie, c’est tout l’intérêt du roman.
Le personnage de Lily également est intéressant, elle n’a, en effet, pas la langue dans sa poche. Elle a des idées bien à elle et les défend. C’est une jeune fille courageuse, ambitieuse et qui a beaucoup de caractère. On se sent proche d’elle, finalement, bien qu’on ne nous la décrive que par l’œil de Calder.
L’intrigue en elle-même est également assez intéressante, bourrée de suspens. Bien que tout paraisse relativement calme au début, et pendant un long moment en suivant, l’expression « se méfier de l’eau qui dort » me semble tout à fait approprié ici pour décrire le déroulement de l’histoire d’Attirance. Anne Greenwood Brown signe ici un roman Young-Adult qui sort des sentiers battus et qui a du peps à revendre. Des personnages attachants et profonds, une histoire palpitante et un univers peu commun que l’on se plait à découvrir ! Je vous le recommande chaudement.
ON ADORE : Le point du vue du personnage de Calder – le thème de sirène – l’intrigue – la relation des deux personnages principaux ON REGRETTE :
une légère lenteur au début du roman.
Lili défie : CHALLENGE WEEK-END À 1000 - session 2 : Les inscriptions.
Hello mes canards !
Enfin, voici le moment tant attendu : les inscriptions pour la seconde session du Week-end à 1000. Pour vous restituer un peu, sait-on jamais vous avez peut-être raté une marche, le "week-end à 1000" est un challenge littéraire que j'ai crée et dont la première session a eu lieu en Février dernier. C'est un rendez-vous que je souhaite trimestriel, maintenant il ne tient qu'à vous, éventuel participant, de faire vivre et perpétuer ce challenge !
Le but de la manoeuvre : Lire 1000 pages en un week-end. Pourquoi : Parce que nous, passionnés de lecture, sommes complètement dingues et que nous aimons les défies. Pour cela, vous disposez d'un week-end, d'une bonne poignée de courage et bien sur le soutient des autres participants !
Cette seconde session débute le VENDREDI 31 MAI à 19h et se termine le DIMANCHE 02 JUIN à 00h ! Soyez donc prêts ! Vous pouvez organiser votre temps exactement comme vous le souhaitez, lire le nombre de livres que vous voulez, dans les formats que vous préférez, le but étant de lire 1000 pages tout simplement.
La seule condition de participation est de relayer l'information, afin de faire connaitre ce challenge et d'embarquer avec nous le maximum de fous de lecture ! Vous n'êtes pas obliger d'être l'auteur d'un blog, mais si toutefois vous en êtes un et que vous avez envie de rédiger un article sur le week-end à 1000 (exposer votre PAL, annoncer votre participation ou autre), je vous encourage, bien sur, grandement.
Il est temps maintenant de vous inscrire, et pour ça, rien de plus simple, il suffit de me laisser un commentaire sous cet article.
En espérant que vous soyez nombreux !
Rejoingnez-nous également sur le groupe facebook : Challenge littéraire : "Week-end à 1000"
Partager le challenge sur Twitter : #weekendà1000
Le sujet sur Livraddict : Week-end à 1000
LES PARTICIPANTS AU CHALLENGE : - Lili Drawinthecity (Lili bouquine)
- Séverine Trooster (Toute la lecture de Sev)
- PhedreD (Pieces of me)
- Ernella (Bienvenue chez Ernella)
- Everbook (Book a Blok)
- Bulledop' (Bulledop' bouquine)
- Katia (Quelques pages)
- CandyShy (Au boudoir de CandyShy)
- Margot (Avis - Lectures)
- Angélique (Les Passions des Amoureux du Quais)
- Fanny (Fanny aime lire)
- Phophie (Mon univers par mes 10 doigts)
- Momoko (Mo' comme mordue)
- Ame
- Anastasia La Livresque (Les chasseuses de Livres)
- Alexia (Les lectures d'Alexia)
- Margaud (Les histoires de Margaud)
- Biblimi (La bibliothèque d'Emilie)
- Laëtitia (Bouquin girl)
- Acro (Livrement)
- Agnah (Agnah's World)
- Alice (Alice Au pays des livres)
- Aeyrine (Mon univers livresque)
- Mimi (Mon petit monde et moi)
- Hannah
- Penelope (Oukouloumougnou)
- Tari (I read, therefore I am)
- Pages après pages
- Linie's book (De book à oreille)
- Lynn (Lynn's Island)
- My sweet lies
- Marie Obsidienne (Poussière d'obsidienne)
- Molly Cicabele
- Kllouche (Ma petite bibliothèque)
- Paradiseandco (Au paradis des livres)
- Esmeralda
- Fiona Rousseau (books and cup of tea)
- BunnyEm (Le terrier du lapin)
- Fleur (Over bookée)
- Margot's reading
- Alex Lys (Tome VI)
- Le monde de Bibi
- Cornwall (La prophétie des ânes)
- Hilde (Le Livroblog d'Hilde)
- Arieste (Au coeur de mes lectures et mes rêveries)
- Kissifrott (Le Dévoreur de livres)
- Iani (Carnet de lecture)
- Melcouettes (Les passions de Melcouettes)
- Sharon (Des livres et Sharon)
- Flobookolic
- Litt'n'sounds
- Isallysun (Critiquons, critiquons !)
- Emma (La Pause lecture)
- MissAngel
- Coralie (Romans Français Contemporains)
- Mylène Ancel (Les lectures de Mylène)
- Mallou (La biblio de Mallou)
- Cerise (Les voyages de Cerise en Terres Sciences-Fictives)
- Mélisende (Bazar de la Littérature)
- Nadine 49
- Mathie (Mille et deux livres)
- Pinelu Leto
- Nathalie
- Ethernya (Fantasy princess)
- Le criquet errant (Un criquet dans la bibliothèque)
Enfin, voici le moment tant attendu : les inscriptions pour la seconde session du Week-end à 1000. Pour vous restituer un peu, sait-on jamais vous avez peut-être raté une marche, le "week-end à 1000" est un challenge littéraire que j'ai crée et dont la première session a eu lieu en Février dernier. C'est un rendez-vous que je souhaite trimestriel, maintenant il ne tient qu'à vous, éventuel participant, de faire vivre et perpétuer ce challenge !
Le but de la manoeuvre : Lire 1000 pages en un week-end. Pourquoi : Parce que nous, passionnés de lecture, sommes complètement dingues et que nous aimons les défies. Pour cela, vous disposez d'un week-end, d'une bonne poignée de courage et bien sur le soutient des autres participants !
Cette seconde session débute le VENDREDI 31 MAI à 19h et se termine le DIMANCHE 02 JUIN à 00h ! Soyez donc prêts ! Vous pouvez organiser votre temps exactement comme vous le souhaitez, lire le nombre de livres que vous voulez, dans les formats que vous préférez, le but étant de lire 1000 pages tout simplement.
La seule condition de participation est de relayer l'information, afin de faire connaitre ce challenge et d'embarquer avec nous le maximum de fous de lecture ! Vous n'êtes pas obliger d'être l'auteur d'un blog, mais si toutefois vous en êtes un et que vous avez envie de rédiger un article sur le week-end à 1000 (exposer votre PAL, annoncer votre participation ou autre), je vous encourage, bien sur, grandement.
Il est temps maintenant de vous inscrire, et pour ça, rien de plus simple, il suffit de me laisser un commentaire sous cet article.
En espérant que vous soyez nombreux !
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Le sujet sur Livraddict : Week-end à 1000
LES PARTICIPANTS AU CHALLENGE : - Lili Drawinthecity (Lili bouquine)
- Séverine Trooster (Toute la lecture de Sev)
- PhedreD (Pieces of me)
- Ernella (Bienvenue chez Ernella)
- Everbook (Book a Blok)
- Bulledop' (Bulledop' bouquine)
- Katia (Quelques pages)
- CandyShy (Au boudoir de CandyShy)
- Margot (Avis - Lectures)
- Angélique (Les Passions des Amoureux du Quais)
- Fanny (Fanny aime lire)
- Phophie (Mon univers par mes 10 doigts)
- Momoko (Mo' comme mordue)
- Ame
- Anastasia La Livresque (Les chasseuses de Livres)
- Alexia (Les lectures d'Alexia)
- Margaud (Les histoires de Margaud)
- Biblimi (La bibliothèque d'Emilie)
- Laëtitia (Bouquin girl)
- Acro (Livrement)
- Agnah (Agnah's World)
- Alice (Alice Au pays des livres)
- Aeyrine (Mon univers livresque)
- Mimi (Mon petit monde et moi)
- Hannah
- Penelope (Oukouloumougnou)
- Tari (I read, therefore I am)
- Pages après pages
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- Lynn (Lynn's Island)
- My sweet lies
- Marie Obsidienne (Poussière d'obsidienne)
- Molly Cicabele
- Kllouche (Ma petite bibliothèque)
- Paradiseandco (Au paradis des livres)
- Esmeralda
- Fiona Rousseau (books and cup of tea)
- BunnyEm (Le terrier du lapin)
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- Alex Lys (Tome VI)
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- Cornwall (La prophétie des ânes)
- Hilde (Le Livroblog d'Hilde)
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- Kissifrott (Le Dévoreur de livres)
- Iani (Carnet de lecture)
- Melcouettes (Les passions de Melcouettes)
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- Emma (La Pause lecture)
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- Mallou (La biblio de Mallou)
- Cerise (Les voyages de Cerise en Terres Sciences-Fictives)
- Mélisende (Bazar de la Littérature)
- Nadine 49
- Mathie (Mille et deux livres)
- Pinelu Leto
- Nathalie
- Ethernya (Fantasy princess)
- Le criquet errant (Un criquet dans la bibliothèque)
dimanche 5 mai 2013
Lili bouquine : Traqué de Andrew Fukuda.
Titre en VO :The Hunt Editeurs : Michel Lafon Site de l’auteur : http://www.andrewfukuda.com/ Ma note : 4/10 Quatrième de couverture : Gene est l'un des derniers humains sur Terre. Son seul moyen de survie : se faire passer pour l'un de ses prédateurs. Ne pas rire, ne pas transpirer, ne pas montrer qu'il est un « homiféré ». Cela fait dix-sept ans qu'il se fond parmi ceux qui n'hésiteraient pas à le tuer s'ils découvraient sa véritable nature.
Chaque décennie, le gouvernement organise un immense jeu où une poignée de privilégiés peuvent pister et dévorer les rares humains retenus en captivité pour l'évènement. Sélectionné pour traquer les siens, Gene ne peut commettre le moindre faux pas. D'autant qu'une mystérieuse fille éveille en lui des sentiments qu'il n'a pas le droit d'avoir. Des sentiments qui pourraient le trahir.
Gene a la rage de vivre... mais vaut-elle le prix de son humanité ?
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MON AVIS SUR LE LIVRE
Traqué est une plongée dans un monde très différent du notre. Nous nous retrouvons au cœur d’une civilisation où l’espèce humaine, ici appelée « homiférée », est réduite à l’état de gibier et de surcroît en voie de disparition. Tout comme notre héros, humain devant masquer sa véritable nature depuis sa plus tendre enfance pour sauver sa peau, nous sommes entouré de créatures étranges et assez indéfinissables qui, bien que gardant une apparence humaine, semblent plutôt descendre des bêtes féroces. L’hypothèse d’une nature vampirique pour ces créature est souvent évoquée, notamment à cause de leur intolérance au soleil, leur goût pour le sang et leur facultés physiques particulières, bien que rien ne nous soit confirmé.
Ces monstres peuplent alors notre terre et y vivent selon leur coutume. Gene, notre personnage principal, survit parmi eux et adopte leurs habitudes jusqu’au jour où, cette survie va devenir plus que primordiale. Le jeune homme, avec quelques autres « petits chanceux », est sélectionné pour participer à la Chasse aux homiférés, instaurée par le gouvernement en place. Gene devra redoubler d’effort pour cacher sa véritable nature tout en s’efforçant de traquer ses semblables.
Un pitch qui promet ! C’est ce que je me suis dit lorsque j’ai démarré le livre. J’ai malheureusement bien vite déchanté. L’auteur n’a pas su suffisamment exploiter ses idées, il reste dans le flou et brode autour de quelques maigres points d’ancrage au lieu de construire des bases solides sur lesquelles il aurait pu s’appuyer. On retrouve dans le récit beaucoup trop d’incohérences, dans la manière dont il étire son univers et dans la réflexion qu’il donne à ses personnages notamment. Certaines situations, également, manquent parfois de crédibilité et viennent renforcer cette impression de fragilité dans la construction du roman.
L’intrigue en elle-même met aussi beaucoup trop de temps à démarrer. L’auteur semble pagayer dans le vide jusqu’à nous amener, assez tardivement d'ailleurs, vers là où il souhaitait nous embarqué au départ. Il insiste sur des points qui peuvent nous sembler désuets alors qu’il ne prend pas le temps d’étoffer ce qui nous paraît intéressant.
De plus, on dénote une certaine lenteur d’esprit chez le personnage principal qui, en plus d’agacer le lecteur, rend l’action bien trop prévisible. Il nous arrive d’anticiper ce qu’il va faire à plusieurs reprises, on se surprend même à lui souffler des alternatives à ses problèmes et de constater que cette idée ne lui traverse l’esprit que bien trop tard à notre goût. C’est parfois ennuyeux et cela engendre des dénouements beaucoup trop simples.
Ces défauts vont longuement encombrer le récit et le suspens tardera à se développer. Pour ma part, je n’ai trouvé un intérêt à tourner les pages que durant les 60 dernières pages qui, je dois bien l’avouer, étaient trépidantes, en parfait contraste avec le reste du roman. L’action prend enfin forme – mieux vaut tard que jamais – et nous happe littéralement. Les personnages nous embarquent avec eux dans une course effrénée. On se met à appréhender ce qui leur arrive alors que leur sort, avant cela, nous laissait assez indifférent. J’ai réellement profité de cette dernière partie du roman, je regrette juste qu’elle n’ait pas donné le ton du roman tout entier.
Si cette fin m’a donné envie de lire la suite, je ne peux malheureusement pas oublirt la peine que j’ai eu à commencer ce premier tome et du même coup d’apprécier ma lecture.
ON ADORE : Les 60 dernières pages, vraiment palpitantes ! ON REGRETTE : Un univers trop peu fouillé – trop d’incohérences – La lenteur d’esprit du personnage principal – des références trop récurrentes et grossières aux odeurs corporelles, crachas, bave au mentons, vomis et autres choses peu ragoutantes…
Ces monstres peuplent alors notre terre et y vivent selon leur coutume. Gene, notre personnage principal, survit parmi eux et adopte leurs habitudes jusqu’au jour où, cette survie va devenir plus que primordiale. Le jeune homme, avec quelques autres « petits chanceux », est sélectionné pour participer à la Chasse aux homiférés, instaurée par le gouvernement en place. Gene devra redoubler d’effort pour cacher sa véritable nature tout en s’efforçant de traquer ses semblables.
Un pitch qui promet ! C’est ce que je me suis dit lorsque j’ai démarré le livre. J’ai malheureusement bien vite déchanté. L’auteur n’a pas su suffisamment exploiter ses idées, il reste dans le flou et brode autour de quelques maigres points d’ancrage au lieu de construire des bases solides sur lesquelles il aurait pu s’appuyer. On retrouve dans le récit beaucoup trop d’incohérences, dans la manière dont il étire son univers et dans la réflexion qu’il donne à ses personnages notamment. Certaines situations, également, manquent parfois de crédibilité et viennent renforcer cette impression de fragilité dans la construction du roman.
L’intrigue en elle-même met aussi beaucoup trop de temps à démarrer. L’auteur semble pagayer dans le vide jusqu’à nous amener, assez tardivement d'ailleurs, vers là où il souhaitait nous embarqué au départ. Il insiste sur des points qui peuvent nous sembler désuets alors qu’il ne prend pas le temps d’étoffer ce qui nous paraît intéressant.
De plus, on dénote une certaine lenteur d’esprit chez le personnage principal qui, en plus d’agacer le lecteur, rend l’action bien trop prévisible. Il nous arrive d’anticiper ce qu’il va faire à plusieurs reprises, on se surprend même à lui souffler des alternatives à ses problèmes et de constater que cette idée ne lui traverse l’esprit que bien trop tard à notre goût. C’est parfois ennuyeux et cela engendre des dénouements beaucoup trop simples.
Ces défauts vont longuement encombrer le récit et le suspens tardera à se développer. Pour ma part, je n’ai trouvé un intérêt à tourner les pages que durant les 60 dernières pages qui, je dois bien l’avouer, étaient trépidantes, en parfait contraste avec le reste du roman. L’action prend enfin forme – mieux vaut tard que jamais – et nous happe littéralement. Les personnages nous embarquent avec eux dans une course effrénée. On se met à appréhender ce qui leur arrive alors que leur sort, avant cela, nous laissait assez indifférent. J’ai réellement profité de cette dernière partie du roman, je regrette juste qu’elle n’ait pas donné le ton du roman tout entier.
Si cette fin m’a donné envie de lire la suite, je ne peux malheureusement pas oublirt la peine que j’ai eu à commencer ce premier tome et du même coup d’apprécier ma lecture.
ON ADORE : Les 60 dernières pages, vraiment palpitantes ! ON REGRETTE : Un univers trop peu fouillé – trop d’incohérences – La lenteur d’esprit du personnage principal – des références trop récurrentes et grossières aux odeurs corporelles, crachas, bave au mentons, vomis et autres choses peu ragoutantes…
jeudi 2 mai 2013
Et en Avril, qu'est-ce qu'on lit ?
Hello mes p'tits chats !
Me revoici avec un bilan du mois d'Avril, ainsi qu'un traditionnel In My Mailbox. Ce mois-ci, j'ai lu un total de 4 romans et 1 BD. Une synthèse assez correcte, en dépit d'une petite déception. En effet, j'ai été peu emballée par Traqué de Andrew Fukuda duquel j'attendais beaucoup plus que ce que j'ai pu trouver. Je retiens toutefois deux livres : Dracula de Bram Stoker, un classique que je me devais d'avoir lu, et Attirance : le baiser des sirènes de Anne Greenwood Brown, que j'ai particulièrement aimé.
Livres lus ce mois-ci :
- Dracula de Bram Stoker
- Traqué de Andrew Fukuda
- Attirance : le baiser des sirènes de Anne Greenwood Brown
-La Guerre des Sambre, Chalotte et Werner, t.1 de Yslaire (BD)
- Cat et Bones de Jeaniene Frost
Livres qui ont rejoint ma bibliothèque :
- Attirance : le baiser des sirènes de Anne Greenwood Brown
- Le secret des Medicis de Teresa Breslin
- Les voyageurs des miroirs de Kriss F. Gardaz
- L'Amant Vengeur de J. R. Wards
- Chronique de Bonfire, t.1 : Initiation de Imogen Rose
- La Guerre des Sambre, Chalotte et Werner, t.1 de Yslaire (BD)
- Sienna t.1 de Desberg, Filmore et Chetville (BD)
- Le tueur, t.1 : lon feu de Jacamon et Matz (BD)
- Eros et Thanatos de Orpheelin (Artbook)
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